Une repetition de theatre qui tourne à une chevauchée avec mon frere
Ma femme et moi venons d'arriver à notre cours de théatre, aujourd'hui c'est répétition générale toute la journée. Il est de bonne heure le matin, le soleil est radieu e il fait bon dehors. Nous rentrons dans une salle des fêtes. Un grande table à été installée au milieu avec des chaises de part et d'autres. Pas mal de gens sont déjà installés. Beaucoup que je ne connais pas d'ailleurs pour ne pas dire tout le monde. L'ambiance est plutot festive, tout le monde cause et rigole. Je m'installe pas loin d'un bout de la table. Mon frère vient se mettre pas trop loin de moi. Je suis content de le voir. Une de mes collègue de theatre se met en face de moi, ce qui n'est pas pour me déplaire non plus.
Notre metteur en scèjne passe tout autour de la table et nous explique le jeu que nous allons faire. Il nous distribue des cartes d'un jeu que je ne connais pas. Tout en expliquant la règle, je m'aperçois que ma mère est là... Je suis surpris, je demande à mon frère ce qu'elle fait la. Je lui dis que je pense qu'elle est venu pour nous surveiller...
Le jeu de carte commence, malheureusement je n'ai pas suivi la règle, je ne comprends donc rien à ce qu'il faut faire. Nous buvons allègrement et j'ai beau boire mon verre, il se retrouve toujours rempli par je ne sais qui.
Je crois que je bois un truc dans le genre Backardi. Un bar est situé derriere le bar et des petits cri attire mon attention.
Je rigole bien et interepelle ma femme quand je comprends ce qe c'est: Il s'agit des distributeur de dose d'alcool avec les bouteille à l'envers qu'on enfile par le dessus. Il faut tirer sur le bout du distributeur pour délivrer la dose d'alcool mais cette dernière est en forme de téton de sein de femme. Et chaque fois qu'on le tire on entends des petits cris de femme qui gemisse de plaisir. Je suis mort de rire et trouve le système très marrant.
Je reviens au jeu et demande à une femme qui s'est installé à coté de moi comment ça fonctionne. Tout à coup je me rends compte que je la connais. Je ne l'avais pas reconnu car elle est maquillé d'eye liner très noir, les cheveux brun bleuté et un look gothique de la tête au pied. Je la trouve très attirante et elel me détourne l'attention de la femme qui est en face de moi. Il s'agit en réalité d'une des personnes que je cotoie régulièrement dans mon village. Elle m'explique qu'elle n'assumait pas sa vraie personnalité à cause de son père mais qu'aujourd'hui elle montre qui elle est véritablement. Nous continuons à jouer quand je sens sa jambe contre la mienne à un moment. Je pense qu'elle crois qu'elle s'est appuyer sur le pied de la table car elle ne la bouge pas. Je laisse faire aussi et garde donc ce contact qui vient de se faire.
Après la partie, tout le monde grimpe dans un bus, nous partons. Je suis installé à l'étage, dehors, il s'agit d'un bus style anglais. Nous roulons avec une lenteur qui m'exaspère. Je décide de me lever en de me mettre juste au dessus du conducteur. Seul une barre de chaque coté de mon corps me permettent de me tenir pour ne pas basculer en avant et tomber sur le chemin de terre qui defile sous mes yeux. Le chauffeur arrive dans un virage et doit donner un coup de frein à main pour le prendre. Je failli de tomber à la renverse. Il accélère et cette fois je manque de tombé en arrière. Le paysage est magnifique. La route poussièreuse orangé défile sous mes yeux et descends jusqu'à un paysage d'arbres et de petites maison au loin, à moitié envahit par une tempète de poussière grise. Sur ma droite le soleil donne des reflet bleu et turquoise sur des petits lacs et étangs entouré d'herbes bien vertes.
Je contemple cette beauté, quand mon frère depasse le bus à totue allure sur le dos d'un cheval. "Regarde Marie" Dit il!
Je me demande de qui il parle quand tout à coup je me rends qu'il s'agit de la femme au look gothique. Je sens une légère pointe de jalousie, mais décide de le suivre à cheval également. Je part donc au gallop sur mon cheval qui sort de je ne sais ou. Je le rattrape mais nous attaquons des virage tellement serré que même nos chevaux manque de dérapé dans le ravin qui plonge sur notre droite. Mmon cheval cogne le sien; j'ai eu peu peur car je ne suis pas bon cavalier, loin de là. Nous finissons par arriver à une petite maison en contrebas. Beaucoup de plante l'entoure. Mon frère cherche sa clé, mais en m'approchant, je pousse la porte et elle s'ouvre. "Laisse tomber c'est ouvert" lui dis-je.
"Ah les parents doivent déjà être rentré" reponds t'il.
Nous rentrons donc et je trouve mon chat qui dort sur un radiateur tranquillement, au soleil. Je comprends que je suis chez moi en fait.
je me reveille ainsi.
| une séance de cine qui ne débouche pas | une attaque de tigre evitée de justesse |
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