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Rêvé le 2 février 2014 - wilou avait 35 ans Ajouter ce rêve à vos favoris
Rêves du 02/02/2014 :

Rêve 1 :


Je suis chez moi, il fait beau, je monte la petite pente qui m'emmene à mon garage quand j'aperçois derrière mon portail, une scie circulaire dans sa malette. Je vais donc voir, je le prends et dedans un message qui dit, "la lame n'est pas encore prête, elle est partie en affutage".
Je prends donc la malette, qui semble abandonnée, et la montre à ma femme. Je me dis : "cool, une scie neuve". Je la range dans ma maison, et continue à bricoler ce que je m’apprêtais à faire avant cette histoire. Quand je me rends compte que tout compte fait, je vais avoir besoin de cette scie. Je retourne donc chez moi pour la prendre, et en repassant donc une enième fois devant le portail, j'entends mes voisins qui aprlent à leur parents et se demandant ou est passé la scie qui etait devant chez eux.
Je me sens coupable... Je leur ramène donc la scie en excusant qu'elle aurait pus s'abimer dehors et que je l'avais mise  à l'abri...

Rêve 2 : Après un reveil, technique WBTB (sans succès)

Je suis chez moi, en train de continuer à bricoler (peut etre la suite du rêve précédent). Je me retrouve dans le chenil de mon chien, mais ce dernier est considérablement plus grand qu' à la normal. Au bas mot 150m². Je suis en train d'essayer d'arranger cette cabane du mieux que je peux pour en faire une habitation. J'ai déjà monté quelques cloisons de placo. Le sol est par endroit en terre battue, mais par endroit c'est un plancher un peu usé. Une pelle plantée au beau milieu d'une pièce m'interpelle, apparemment ce sont les anciens proprios qui l'ont laissé comme ça, mais je me demande ce qu'ils ont voulu faire. Tout à coup par une fenetre, je vois un groupe de gens traversé mon terrain. Je sors illico les questionner. " Que faites vous chez moi?" Ils m'expliquent qu'il aimerait faire un jeu de rôle grandeur nature et que ma cabane les interesse pour leur truc. Je leur réponds qu'ils auraient dû me prévenir avant, c'est la moindre des choses, ducoup je refuse de leur laisser ma cabane et leur dis que si ma femme les vois ici, elle va les engueuler sévèrement. L'homme à qui je m'adressait se met à pleurer, déçu.
Je continue mes travaux, quand j'entends un fracas monstrueux dans une des pièces. En revenant, je vois qu'une femme du groupe etait entré. Je lui demande de bien vouloir sortir, mais elle me suit dans la pièce ou le bruit à eu lieu. Je m'aperçois que c'est une vitre qui a cédé à cause du vent. Je me penche par la fenêtre et j'admire une vue que je n'avais jamais fait attention. Le ciel est magnifique, des tons ocre et rouge. Le soleil rasant la colline donne des couleurs incroyable à la scène. Je vois à l'horizon un chateau viticole d'un de s mes amis. je me dis que je n'avais jamais fait gaffe qu'on voyais ce château de chez moi, et je dis à la femme de regarder car la scène est aussi belle qu'un tableau. Tout à coup, un gamin qui etait derrière moi et que je n'avais pas vu passe par la fenêtre. Il manque de tomber et le rattrape in-extremis. Il y a beaucoup de circulation tout à coup, il ne faudrait pas qu'il se fasse écraser me dis-je.
Ma femme arrive à la fenêtre par l’extérieur. Elle me sourit mais je m'aperçois qu'il lui manque une dent. Je me met à rigoler en me moquant d'elle gentiment.
2 Lucides cette nuitUne bagarre barbare

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