Je suis sur le parking de mon taff, je suis sur ma moto. J’avance en poussant ma moto tout en regardant ma chaine afin de regarder si je ne l’avais pas trop tendu en la réglant le veille (en vrai). Je vois que cette dernière par moment est beaucoup trop tendu. Je m’inquiete, j’ai peur de soit rompre la chaine si je roule comme cela ou d’abimer mon pignon de sortie de boite. Une légère pente m’empeche de m’arrêter alors je commence à freiner du frein avant, mais la moto ne s’arrête pas. Je me dis que je dois pomper sur mon levier comme lorsque on purge les freins d’une voiture. Je pompe, pompe et pompe encore. Le frein se durcit et la moto finit par s’arrêter. Tout à coup, je me rappelle que je n’ai pas toucher à mon système de frein lorsque j’ai tendu ma chaine. Je ne comprends donc pas pourquoi mon frein à réagit de la sorte. Je percute que je rêve à ce moment. Je lâche intentionnellement le frein. La moto reprend sa descente et s’apprête à percuter le bardage en tôle en face de moi. Je laisse faire, sûr qu’en rêve rien ne peut m’arriver de toute façon. La moto finit donc sa course comme prévu dans le bardage, mais le choc est doux et amortit comme dans un matelas. Cela ne me surprend pas plus que cela. Je descends de la moto, regarde autour de moi. Une collègue de boulot quitte la boite et s’en va en me disant au revoir. Je lui fait signe aussi et dès qu’elle quitte le parking, je me dis « Tiens ça fait longtemps que je n’ai pas voler un peu ! » Alors je fonce dans les cieux, le plus vite que je peux, en tournant sur moi-même comme une toupie en même temps. Je vois les entreprise de la zone industrielle en contrebas. J’ai dejà atteint une sacré hauteur, je n’en reviens pas. Mais en voulant trop faire le farfouinou, je me suis donné moi-même un vertige monstrueux, qui m’a tellement fait tourner la tête que j’en suis réveillé dans le lit…
Rêves du 16/03/2014
Je suis dans une salle d’arcade, il y a des jeux video, billard, baby-foot etc… Je suis avec Un collègue de boulot. Je fais un tour de reconnaissance pour voir ce qu’il y a comme jeu. Deux gamins sont en trains de jouer ) un jeu de moto du style Manx TT superbike. Sauf que la moto se penche toute seul, mue par des vérins. Je me dis que ça doit être pas mal, mais le jeu en lui-même n’est pas très bien réalisé. Je continue mon petit tour. Un jeu de tir à la jurassic park ici. « Mouai, c’est pas mon kiff », me dis-je. Rien de bien transcendant en somme. Je finis tout de meme par aller à la caisse pour avoir de jetons, mais la caissière me file à la place une espèce de quille rouge, assez lourde. Je la pose au pied d’un baby-foot, et demande à mon collègue si ça le tente une partie. Il acquiesce et nous voilà parti à jouer au baby. Au bout d’un moment, je me rends compte que nous ne sommes pas que tout les deux à y jouer mais aussi des gens de mon village. Il ne doivent pas y jouer souvent car au lieu d’utiliser les poignées, il prennent les petits bonhomme à pleine main pour leur donné le mouvement pour taper dans la balle. On me dit « Tu sais qu’il en avait un à la mairie lors de l’ancien mandat, mais il se le sont fait piquer. Un truc de luxe en plus ». J’écoute, et d’un coup je percute, et je m’enflamme. « Quoi ! et je suppose que c’est les impots des gens de la commune qui ont payé ça en somme !? » Il me réponds que oui en grosse partie, mais que les conseiller municipaux y ont mis un peu de leur poche quand même. Ce qui ne suffit pas à faire baisser ma colère.
Rêve 2 :
Je suis avec ma femme. Nous sommes en train de nous garer sur un parking avec la MX5. Je me gare à coté d’une autre cabriolet qui semble être aussi une MX5, ça me fait marrer, d’autant plus que ses jantes sont l’inverse exacte des miennes. Même forme, mais le noir et le chrome sont parfaitement inversé. Je sors et regarde la voiture ? Je suis surpris de voir qu’en fait il s’agit d’une pauvre ford escort pourrie. Nous rentrons dans un bâtiment où une fête à lieu apparemment. Nous montons à l’étage, et regardons les gens en contrebas du palier qui forme une mezzanine avec un garde au corps en fer forgé noir. Tout à coup, ma femme se laisse tomber contre moi en levant une jambe, comme si elle dansait et pur m’entrainer dans sa danse. Je la retiens en caressant au passage sa jambe. Il y a des gens sur la palier avec nous. Nous filons donc un peu plus loin. Elle me pousse, je tombe assis à terre contre un mur et elle se déshabille sauvagement, laissant apparaitre un ensemble hyper sexy violet. Je lui dis « Eh mais je savais pas que t’avais ça toi, dis donc ! » Elle sourit et se baisse vers moi de sorte que sa poitrine effleure mon visage.
3e rêve :
Je suis en train de me garer avec ma voiture sur un parking (encore). Je me rappelle clairement être bien sorti du coté droit (c’est une voiture anglaise). Je file vers la gros bâtiment en face de moi. Il s’agit d’un supermarché. Je viens chercher ma femme qui m’a dit de la rejoindre ici. J’ouvre la porte mais il fait noir et je distingue à peine ma femme qui est assise tout au fond de la pièce dans une canapé blanc. Je me pose la question brievement de ce qui se passe ici, mais je comprends rapidement que la magasin est fermé mais ces imbéciles ont oublié de fermer les portes à clés. Nous voilà donc dans un magasin sans lumière, seuls voué à nous même. Je pense évidemment à en profiter pour piquer plein de truc, mais j’ai peur que les caméra de sécurité, elles, fonctionnent. Tout à coup je demande à ma femme toujours assise dans la canapé : « Eh mais attends c’est bizarre quand même, on serait pas en train de rêver là ??? ». Elle me réponds « Ben oui ! »
La scène devient noir au point que je ne vois plus ma femme. Je ne bouge pas. Réfléchissant. Je pense à ma quête n°2 d’Iktomi, celle où je dois demander au rêve lui-même comme faire plus de rêves lucides, mais comme la dernière fois j’ai causé en dormant, j’ai peur de recommencer. Je reste un moment dans le noir comme cela, mais doucement, je prends conscience que je suis allonger sur le côté dans mon lit et en ouvrant les yeux, je vois le filet de lumière du jour levé à travers les volets.
Rêve du 17/03/2014
J’ai retrouvé ma Honda Prélude. Elle était resté chez mes parents. Je suis super content de le reprendre, elle toujours aussi belle, en superbe état et demarre au quart. Je roule, mais un truc ne va pas, mon siège est complètement déréglé et je n’arrive pas à le regler comme il faut, je me dis « mais c’est bizarre quand même, avant j’etais presque allongé dans cette voiture, les pieds quasiment dans le moteur, et la j’ai pas le choix, je suis droit comme dans un utilitaire ». Je tripatouille tout les règlages possibles, mais rien n’y fait. Impossible de retrouver ma bonne position de conduite. Tout à coup, je me rends compte que je conduis du cote droit (comme ma mx5). Mais je percute, je me dis « Eh mais attends, c’était pas une anglaise la prélude ! ». Ducoup je percute que je rêve, mais j’ai une très faible lucidité. Je suis sous un tunnel à 4 voies, mais ça ne m’empeche pas tout en roulant à bonne vitesse, de me mettre tant bien que mal sur le siège d’a coté. Je galère, l’habitacle etant très exigue. Me voila de l’autre coté. Je materialise mon volant. Et d’un coup, je retrouve ma position d’origine. « Ah c’est nettement mieux comme ça ! » me dis-je, perdant au passage le peu de lucidité que j’avais.
Une robe pleine de rosé et un ami aux cervicales brisées | Une piece secrete et un rendez vous et petit tour de moto |
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