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Rêvé le 18 novembre 2013 - wilou avait 34 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Il fait jour, nous sommes à priori en milieu de journée et je me trouve dans une gare. J'accompagne un de mes potes d'enfance que je n'ai pas vu depuis quelques années. Il me précède. Il me de dis "c'est bon? t'es prêt?"

Sans un mot j'aquièsce, et nous ouvrons alors nos blousons de cuir pour sortir chacun un fusil à canon scié et commençons à tirer dans le tas. Je ne me rapelle pas du carnage lui même qui a dû suivre, mais je me rapelle de notre fuite :

Nous sortons en courant hors de la gare. j'ai été stupide de garer ma moto si loin me dis-je. par chance un autre motard possédant exactement la même que moi est à proximité. Je cours vers lui et lui dis que j'ai besoin de sa moto. Je lui explique succintement que la mienne est la bas, que c'est la même et lui laisse les clés. Je ne lui laisse pas vraiment le temps de répondre que j'enfourche sa machine et me voilà parti en suivant mon ami. Je me rends compte que la moto que je viens d'emprunter à nettement plus de puissance que la mienne et en y regardant de plus prêt je m'aperçoit qu'il s'agit en réalité d'une 1100 cm3 (le mienne est une 600).

Nous filons donc à toute vitesse a travers de grandes étendues de bitumes qui ressemble à des quais. Nous entâmons la route puis arrivons enfin à une petite route qui finit en massif de de pierre très haut. Nous décidons de grimper avec moto quand même. Je n'en reviens pas avec quelle facilité une sportive peut grimper sur des cailous énormes comme cela. Elle est complétement cabrée mais ça ne l'empèche pas de monter sans mal.

Après une bonne ascension. Mon pote s'arrete. Je m'arrete également. Il me montre un petit endroit plat ou des bout de verres eet de pierres cristalines brillent au soleil. Il me dis "tu te rapelles quand on était gosse et qu'on venait là pour mettre tout ce bri cà brac?" Je regardais, stupéfait qu'après autant d'années, totues ces pierres et ces objets brillants n'est pas perdu de leur sublime et rayonnait toujours de milles feux au soleil. Je m'assois au milieu de ce promontoir qui surplombe la ville et contemple sans me soucier de ce que je viens de faire.

Fin du rêve

avant une representation theatralesolde et sorti karting

Commentaires

  • Flying Julie, le 21 novembre 2013 à 0h32

    Aaaaaah, une Fin zen... ça fait du bien !!

  • Loni, le 22 novembre 2013 à 14h12

    Oui, ça fait un sacré contraste avec le début !

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