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L’histoire se déroule dans un futur proche. Je fais parti d’un centre de recherche sur les robots.

Nous sommes déjà très avancé sur leur aspect physique. Il est devenu quasiment impossible de différencier un être humain d’un robot. Ils parlent, bougent comme nous. Seul leur côté sentiment est encore à developper.

Je m’occupe de deux projets en simultanée. Le premier est le fait de les ouvrir aux sentiments par l’apprentissage. Des ateliers avec des groupes ont étés crées pour les initiés et leur faire developpé cet aspect de leur personnalité car aujourd’hui, les robots ont intégrés la vie de tous mais suivent bêtement les ordres qu’on leur donne. Je m’occupe de deux groupe, un groupe de robots adultes et un autre avec des robots enfants.

Mon deuxième projet est beaucoup plus poussé. Nous avons crée un robot de type féminin. Nous avons énormément travaillé sur son cerveau. Ce dernier est capablede sentiments d’entré de jeu dès sa mise en fonction. Et l’évolution primordiale est le fait qu’elle puisse intégré la mémoire qu’un humain aura au préalable sauvegarder sur des espèces de cartes mémoires.

Le premier incident s’est déroulé à la cantine du centre. Je mangeais avec mon groupe adultes quand la cantinière à commencé à s’enervé pour je ne sais quel raison sur un membre du groupe. Et chose surprenante, le robot s’est défendu. Verbalement dans un premier temps, puis à commencé à s’agiter sérieusement au fur et à mesure que le ton montait. Au moins les séances d’apprentissages portait désormais leurs fruits. L’agitation devint générale, les robots s’était ligués entre eux et commençaient à devaster la cantine. Je ne bougeais pas. Devant mon assiette, je la regardais sans un geste. Un robot ne fais pas de mal si il n’est agressé et se battre contre eux aurait surement été peine perdu. Le tumulte s’eteignit quasiment aussi rapidement qu’il était apparu et tout rentra dans l’ordre.

Je parti voir mon deuxième projet. Elle n’était pas fini au niveau physique mais son cerveau était pleinement opérationnel. Je me balladais avec elle dans les couloirs du laboratoire. Sa sensibilité était incroyable. Son ventre laissait encore quelques circuit electroniques visible. Elle n’aimait pas cela, je la vis grimacer et tirer un peu sur sa chemise pour les cacher. Et elle vit également que je l’avait remarqué faire ce geste. Elle ne sentait pas robot du tout. Ce robot me tenait particulièrement à cœur, et pour cause ; Nous avions choisi de lui donné l’apparence de ma femme qui s’était suicidé il y a quelques années. Nous avons poussé le vice jusqu’à commencé à lui intégrer sa mémoire avant qu’elle ne disparaisse. Il ne restait plus que deux cartes mémoires, et plus je lui intégrait ces morceaux de mémoires, plus mon cœur battait fort. Le robot était parfaitement conscient de ce qu’elle était, et que cette mémoire n’était en réalité pas la sienne. Elle le savait mais était à fond dans l’aventure quand même. Je lui intégra donc l’avant dernière carte mémoire. Nous nous rapprochions de plus en plus évidemment au fur et à mesure que l’expérience avançait.

Un incident m’interrompa de ce projet. Une camionnette roulant de façon anarchique vint au centre. Une personne sorti et se présenta au labo. C’était un robot . Il était dans un état psychologique complètement instable. Apparemment il avait réussi par ses propres moyen à developper des sentiments. Mais ne gérait rien. Il avait quitté l’usine ou il travaillait pour nous rejoindre. Je choisi de l’intégrer dans mon groupe d’enfant pour le reprendre en main. Ses progrès furent spéctaculaire, malgré le fait qu’il avait tendance à vite partir dans des sentiments extrêmes. Aussi quand il fut prêt, nous le ramenâmes à son usine ou il travaillait. Il était stressé, ses « collègues » robots n’était pas comme lui. C’était un cas particulier. Je l’avertis qu’il ne devait parler de cela à personne, ni de nous et de notre centre. Un robot doté de sentiments et de sensibilité se devra d’être démonté. Je lui souhaita bon courage et nous repartîmes. Des robots, par curiosité s’était rassembler autour du véhicule comme des zombies sans âmes. Nous nous efforçâmes de n’en bousculer aucun en repartant. Il ne fallait surtout pas provoquer d’accident. Nous n’avions rien à faire ici.

Rentré au centre, je parti voir mon projet le plus abouti jamais créé et le termina physiquement.

Elle était plutôt grande car quasiment de ma taille. Brune au cheveux long et à la peau claire. Je tenais dans ma main la dernière carte mémoire. Les dernières pensées de ma femme… J’avais peur de lui transmettre en même temps les pensées suicidaires qui la hantait. Nous en parlâmes longuement. Elle décida également de ne pas intégrer ces dernieres bribes de pensées.

Nous nous regardâmes longtemps dans les yeux. Je crois qu’elle compris alors ce qui allait se passé. Nous nous embrassâmes en guise d’adieu et je la laissa partir.

Seul je pris mon courage à deux main et décida de faire l’inévitable. J’intégra alors en moi la dernière carte mémoire et me jeta par la fenêtre du centre.

ma premiere description de rêve. j'en fais beaucoup et très précis en générale, d'ou l'envie de les décrire...