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Rêvé le 29 décembre 2013 - wilou avait 34 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis dans une petite gare de province. Il fait encore nuit, mais le jour ne va pas tarder à poindre. Je suis sur la quai, baigné dans la lumière froide des néons. Beaucoup de monde patiente avec moi. Le train arrive, il s'agit d'un RER gris assez vieillot. L'intérieur n'est pas vraiment plus chaleureux que le quai. Je m'installe, mais ça ne me convient pas. Je change de wagon. Plusieurs fois. J'ai hâte d'arriver car je vais voir ma fiancée.

La destination approche. Le jour est levé. Il s'agit de la grande surface prêt de chez moi. Dans mon rêve, elle est desservi par une gare, très chaleureuse. Je descends sur le nouveau quai, beaucoup plus joli que celui du départ, à la recherche de mon amour.

Je l'aperçois1, mais je n'ai pas le temps de lui sourire qu'un train arrivant beaucoup trop vite, rentre dans celui dont je venais de descendre dans un fracas épouvantable. Je fuis, comme tout les passagers, et cri à ma fiancée de s'enfuir le plus vite possible.

Je la perds de vue, mais je continue à courir dans ma direction le plus vite que je peu pour echapper au train qui vient de se coucher et qui est en train d'entamer un carnage sur le quai.

Je fini ma course sur la parking. Je me retourne, pensant être assez loin, et vois le train en piteux état, couché sur le flanc qui arrive à seulement une dizaine de mètres de moi. Il s'est enfin arrêté. Ouf!

Les dégats sont impresionnant. Une grosse partie de la grande surface est en morceaux. Des piliers ont cédés et le toit, s'est effondré jusque dans le hall d'entrée. Je cours pour retourner dans ce hall, effrayé et anxieux de ce qui à pus arriver à ma fiancée. Du haut de l'escalator, je la vois gisant au sol, une blessure monstrueuse à une jambe, elle baigne dans une mare de sang. Je cours à ses côtés mais il est trop tard. Elle est morte.

La scène se répète. je sors du train. Je sais ce qui va se passer. Je cours en direction de mon amour et lui dis de fuir, de courir. Elle ne comprends pas mais s'execute. Je la perds de vu à nouveau. Je cours aussi et cette fois me réfugie dans une autre entrée qui avait eu l'air d'être épargnée la première fois. Le train, fini donc sa course comme prévu, sur le flanc, sur le parking. Je recours à la recherche de ma fiancée, en espérant que cette fois, elle à pus s'en tirer.

Je la retrouve assise à une table de conférence dans le hall avec des gens qui cherchent une explication à l'accident. Elle me regarde tristement, mais mes yeux tombe sur sa blessure à la jambe qui semble moins grave que la première fois, mais toujours là. Je suis triste aussi, je sais que cette blessure mettra tout simplement un peu plus de temps à la tuer.

 

Le soir tombe. Nous avons mis le corps dans une petite chambre annexe du  manoir ou nous nous trouvons; des jeunes dont je m'occupe et quelques adultes dont ma voisine. Je meclipse de la salle de vie ou tout le monde se trouve, pour aller retrouver ma fiancée, décédée. La mort lui à donner un autre visage2. Je la prends dans mes bras et l'emmène à l'exterieurs de la demeure. Je surveille que personne ne me vois, traverse la cour, passe le portail, et pose le corps  sur les bottes de pailles entourées de fil metalique. Je sors une seringue et lui plante en plein coeur en injectant le produit. Elle se réveille alors doucement. Je l'embrasse en pleurant et la rassure en lui disant que ça va aller car je vais l'emmener voir quelqu'un qui la ramenera à la vie. Elle pleure aussi dans mes bras. Le produit que je venais de lui administrer n'ayant que des effets précaires.

A ce moment, une porte avait été ouverte au manoir et quelqu'un vient de m'apercevoir. Je laisse ma bien aimée, extremement faible, et cours au manoir pour ne pas que mon plan foire.

Trop tard, ma voisine se doute de ce qui se passe, et lorsque j'arrive au manoir, elle  prend avec elle toute une garde de jeune et vont en direction de ma fiancée. Elle a compris ce que je venais de faire. Il n'y avait que les sorcières capable de revenir à la vie, produit ou non injecté dans les veines. La chasse à la sorcière commençait.

"Ne faites pas ça!" criai-je

"Tu n'avais pas le droit de le faire, c'est contre nature!" retorque t'elle.

De peur qu'ils lui fasse du mal, je prends une petite fille en otage, et m'enfui, courant sur la route, en espérant qu'ils me poursuivent. Je ne vais pas loin, et me cache dans un petit chemin de sable. Je rassure la petite fille en lui disant que rien ne va lui arriver. Je m'accroupi à ses côtés et avec mon grand manteau noir, je nous cache tout les deux, en surveillant à travers les buissons, si on nous poursuit. J'entends une voiture démarrer en trombe et partir à notre recherche. Ils passent devant nous sans nous avoir vu. Je recours donc en direction de ma bien aimée, mais mon rêve s'arrête avant que je ne l'atteigne.

 

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