Je rêve que je rêve et que je raconte mon rêve à Horatius.
Nous sommes dans un complexe de loisirs, centre de vacances, avec des tables en terrasse.Il y avait une comédienne qui chantait mal sur le coté, je m'étais rapproché pour mieux voir à un moment.
C'est le matin, Horatius est assis à ma droite , un coin de table nous sépare. Je lui demande si je peux lui raconter le rêve que je viens de faire. Il m'écoute.
Je lui raconte alors le rêve suivant, que je vient de faire dans ce même rêve:
Nous sommes dans un bâtiment noir, classieux, aux allures modernes, en centre ville. c'est un bâtiment où il y a des gens de la ville mais aussi des gens de l'extérieur. On parle anglais et français dans ce bâtiment,
C'est un bâtiment où je suis déjà allé dans des rêves précédents pour des RDV. La je rencontre un homme et nous parlons , y aussi une femme. Sur un mur il y a un patchwork où est marqué jésus en bleu clair sur fond bleu plus foncé. Je remarque que depuis mon dernier passage on a rajouté une trainée de flammes en bas de ce patchwork. C'est très joliment fait. je pense à Patience.
Horatius et un autre homme attablé s'extasient de ce que j'ai lu Jésus dans le rêve. Je suis content de leur joie même si je la trouve un peu déplacé.
En même temps que je raconte ce rêve je pense à plein de trucs- je suis tout à fait dans l'actualité.
A un moment quand je raconte le rêve , je fais un lapsus en disant salle de théâtre plutôt que bâtiment noir. on rigole sur ce lapsus avec Horatius. Je pense à Delia, je me souviens très bien que j'ai théâtre ce samedi. Je suis très dans l'actualité.
Je raconte ensuite qu'une femme me parle en anglais et me dit que le match est zéro-zéro, je pense qu'elle parle du match Marseille-Paris, puis elle me dit que le Rhône a débordé et me demande pourquoi. Je pensai que le match avait été joué et je ne comprends pas grand chose , je ne réponds pas.
Dans le centre de vacances, La salle s'active un peu et on se déplace un peu. Je demande à Pierre si je continue à lui raconter le rêve, je sens à son regard que c'est plus vraiment l'heure, je dis que c'est pas grave et que je lui raconterai à un autre moment. Il est accaparé par les activités de loisirs du centre.
Je me ballade dans le centre. je croise la dame qui jouait un peu bizarrement, elle est très grande. Elle explique à quelques gens présents qu'il faut se lâcher, que c'est sympa..
On nous distribue à manger, des bonbons. à un moment je vais poser un plats de bonbons sur un autre table en demandant à la personne présente si elle en veut .
Je me balade puis sort du centre. A un moment , à l'extérieur du centre,je me retrouve avec 2 jeunes enfants. une fille de 8-10 ans et un un garçon, son frère de 6 ans. Ils se promènent en jouant. Je les accompagne. On va dans la même direction, on rigole. A un moment dans une phrase,le garçon dit "voilait", la fille reprend en disant"violait" et moi je dis , non il a dit "voilait."
A un moment on arrive vers le bas du complexe de loisirs, près du champs où il y avait la représentation.c'est une sorte de terrain vague en friche.
Nous devons passer une petite mare, je tends la main au garçon qui l'attrape et passe.
Puis, on doit doit monter dans un petit torrent et il dit "Christophe, donne moi ta main" je l'aide a passer et on s'installe tous les trois dans le torrent. C'est de l'eau chaude. C'est hyper agréable. On voit aussi le terrain. On voit une autoroute qui part dans la montagne avec des camions dessus. On voit aussi le complexe de loisirs.
Je me baigne dans le sorte de mare qu'on vient de passer.J'ai un masque de plongé qui me colle bien à la tête. Je me dis que c'est parce que je l'ai talqué que le caoutchouc est encore en si bon état. Je joue avec ce masque, à la faire tenir sur la tête.
La fille me dit que c'est pollué au fond de cette mare, et de faire attention.
A un moment je vais récupérer une grande tige en acier et je commence à la décorer avec tout les trucs un peu jolis. Je trouve ca super déconnant et plein de personnes arrivent.
On rigolent beaucoup. l'idée de se faire un mat, une sorte de totem, un signe de ralliement.Ça sort de l eau comme un mat.
On part dans le sens inverse, et on repart en ville.
Je suis un peu poursuivi par un gars qui est légèrement plus fort que moi, mais ca se voit pas toute de suite. il me poursuit, plutôt coté policier.
on arrive dans une sorte de gang, on fait semblant de rien. il intervient en interpellant l'un d'eux. il pose une question, j'ai pas l impression qui leur casse la gueule mais presque. j'en profite pour partir. De la poursuite, de la poursuite , de la poursuite.
Fluide, aisée, on passe dans des couloirs, des ruelles, des métros, etc. c'est très fluides. on court.
Il ne me rattrapa au début.puis à un moment, je sais qu'il va me rattraper. il n 'est plus dans une course effrénée pour m'attraper. Il est dans une course où il va me rattraper. J'ai une bonne course mais je sais qu'il va me rattraper. On a de très bon rythmes, je marche sur les mur pour sauter, etc. y a une musique douce en même temps.
Je sais qu'il me rattrape. A chaque tournants je le vois plus prêt. je n'ai pas peur. c'est inéluctable.
Comme dans un ballet, au cirque où les gens se balancent et à un moment ils vont se rattraper.
C'est du mouvement mais on sent qu'on va bientôt se rattraper. A un moment je suis entrain de sauter par dessus une rambarde, et je vois qu'il vole derrière moi en me tenant les jambes. on est comme en apesanteur, dans l espace. Contact très léger.Comme un appareillage de vaisseaux spatiaux.
Tout en me tenant il se met à chanter sur l'air de "Message personnel " et dit "Pour que je vive longtemps tu dois mourir". Il chante ,c'est très beau
Je suis d'accord.
Et là, je sens que mon temps est bientôt compté mais ca n'est pas grave du tout.
Je vois une sorte de chronomètre jouet qui décompte des secondes. Il reste 30 secondes.
je suis devenu un petit garçon de 4 ans qui joue avec un jouet télévision mécanique qui fait défiler une bande. Le dernier personnage est un chat. Le garçon dit c'est bientôt fini. Le truc s'arrête. L'enfant appuie sur le tissu pour le remettre droit puis il actionne le mécanisme pour le refaire démarrer.
Sa mère est dans le pièce entrain de repasser.
L'autre conne. | Rejoindre le Grand Tout. |
Ca, c'est du rêve à tiroirs !
Assez angoissant sur certains points, notamment le compte à rebours. C'est comme ça que tu l'as vécu, ou plus paisiblement ?
Salut Loni !
pas d'angoisse durant le rêve. Lors du compte à rebours, j'étais vraiment comme le jeune enfant qui joue avec son jouet: plutôt en situation de contemplation.
J'ai eu un peu peur quand mon poursuivant me dit que je dois mourir mais en même temps, j'ai trouvé ca très juste.
Ce qui m'angoisserait un peu maintenant, c'est de ne pas comprendre l'ensemble des messages de ce rêve :-)
Pour la première fois, j'ai utilisé un dictaphone pour enregistrer mon rêve des le réveil. C'est peut etre pour ca que j'ai pu me souvenir d'autant de chose., en tout cas en noter autant.
A+
Marrant, le coup du dictaphone ! J'y avais jamais pensé (Mais en même temps, le jour où je le fais, ma femme me réserve un rendez-vous chez le psy). Perso, j'ai toujours un calepin au pied du lit, où je note les moments importants des rêves, et surtout où je donne un titre.
Sinon, c'est dommage que le son soit décalé dans la vidéo. A propos, t'as pas eu de soucis pour la mettre ?
a l'époque, c'était tjrs décalé ces "clips" des années 1970 :-)
J'ai juste fait un copie paste de l'URL- aucun souci - Ton site marche du feu de Dieu :-)
Merci du compliment !
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