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Je suis dans un appartemment avec deux filles que je trouve superbes lors d'une soirée, une blonde et une brune, ainsi que thomas; un ancien pote, et sarah une ancienne amie.
thomas et moi finisons bourrés et je m'endors sur un lit en enlacant dans chaque bras les deux filles présentes tout en racontant des conneries pour les faire marrer. (le reve se passe de nos jours).
au réveil je me rend compte qu'elles n'étaient pas si saoules que ça et je trouve des photos marrantes de moi enlacant un oreiller d'un coté et un ballon de foot de l'autre^^
on est chez la blonde avec thomas mais les trois filles sont parties, et thomas prend sa douche puis j'attends pour prendre la mienne. je me souviens de la configuration d'un appart qui m 'est totalement inconnue. la douche est remplie de serviettes de bain trempées et j'ai du mal à trouver de affaires propres. en sortant, thomas me parle d'une plainte déposée par la mere de l'acteur principal principal d'un court métrage que j'avais réalisé il y a longtemps, et que je devrais aller lui parler.
la femme se plaint d'une phrase que j'aurais dite, comme quoi elle se balade en string dans la rue et mes parents auraient recu chez eux une amende de 2500 euros. je n'ai jamais vu ou entendus parler de cette femme de ma vie et de plus mes parents on trop de soucis financiers pour avoir à gérer une histoire aussi idiote, et je décide donc de me rendre directement chez ces gens pour éclaircir un peu l'histoire.
je me retrouve directement chez les gens en question dans une maison de campagne, une propriété de plein pied très grande avec un terrain immense, visiblement un champs de cultures. je discute avec la femme qui a déposée la plainte, et je sens bien qu'elle l'a fait sans raison particulière.
S'en suit un long monologue sur la culture de je ne sais plus trop quoi, elle me parle de plantes avec passion, avec frénesie plutot, comme si je devais tout connaître de ce champs alors que je m'en fou royalement.
elle a les yeux exorbités et est habillée dans un accoutrement de récolte, portant des outils et un chapeau de paille. on est asser loin de la maison et on s'enfonce dans le champs. elle ne cesse de se justifier sur sa manière de s'occuper de ses plantes, elle parle avec hate et je ne comprends pas ce qu'elle dit jusqu'à ce qu'elle me sorte justement après une longue tirade sur les pieds de vigne (ou d autre chose) le fameux : "vous comprenez ?" comme si ses plantes avaient un quelconque moyen d'exuser se plainte dont elle n'a pas parlé.
je lui repond que non je ne comprend pas et que de toute évidence elle est passionnée par ce qu'elle fait pour en parler avec autant de ...vigueur d'ame (je l'ai pas dis comme ça mais c'était le message).
elle releve d'un coup la tete vers moi et marche dans ma direction comme une machine, comme si j'avais donné un code l ffranchissant de toute explication et que tout devenait clair pour elle. je ne comprenais toujours rien mais elle avait encore plus envie de discuter de son passe temps passionnel ou plutot compulsif.
ce qui me frappe avec le recul c'est que l'intitulé de mon court métrage (que je ne peux hélas pas écrire ici) fait directement référence à plusieurs composantes du reve, mais bref.
je me retrouve dans la maison avec elle pour finalement parler de ce pour quoi je suis venue. elle a toujours cet air agard et incertain mais donnant l'impression qu'elle va agir dans la seconde comme une furie, jusqu'à ce que son mari débarque. en temps normal j'aurais un peu flippé, mais le reve sns etre conscient avait cet arrière gout de ... reve; je me sens en sécurité.
le gars mesure bien 2 mètres, asser fin, la quarantaine, le crane rasé et des tatouages partout, refletant une image de "mauvais garcon pres à tout pour casser la gueule à un type qui harcele sa femme", comme dans les films quoi.
je crois me souvenir qu'il boit une bière, et vient s'asseoir juste à côté de moi sur une table, en raison de son mécontentement et du manque de place qu'il y a pour nos postérieurs il me pousse carrément de la table pour me faire signe de dégager fissa.
je n'insiste pas et me retrouve sur la palier de la porte à discuter avec sa femme à propos de la plainte, et je comprend dans un regard enfin normal orienté vers le sol qu'elle regrette son geste et va retirer la plainte. le mari débarque et je lui sors un truc du style "je discute avec votre femme là"
il s'énerve, retourne dans la maison et je comprends qu'il est temps de partir. le palier donne directement sur une départementale de campagne, et ma voiture est (la voiture de mon père, je n'ai pas de voiture) garée sur le bas coté avec le clignotant et elle empiette carrément sur la moitié de la route à environ 50 mètres au dessus de la maison du couple de tarés, avec les clés sur le contact...
j'essaye de placer quelque chose dans le coffre mais bien qu'il se ferme facilement il ne cesse de s'ouvrir tout seul et je finis par le fermer d'un grand coup sec. au coffre je m'apercois que je suis limite habillé comme pour un seminaire ou un enterrement, la totale costard noir trois pièces et le manteau qui va bien (un vieux manteau miteux que je ne porte plus mais qui semble totalement neuf à ce moment). les autres voitures faisant gentillement des écarts monstrueux pour passer à côté de mon véhicule, je décide de partir avec l'intention de prevenir mes parents que la plainte est annulée, puis de reprendre le court de la soirée de la veille.
Pour lire le reve il faut connaitre d'abord certains événements de la vie réelle:
j'ai un jour tourné un court metrage dont j'atais l'auteur il y a plus de 5 ans, et je n'ai plus de contacts avec les acteurs même si le tournage s'est très bien passé et dans la camaraderie la plus totale. Je ne vois plus non plus mes amis de l'époque, j'ai notamment été en couple quelque temps avec une fille dont je n'ai plus aucune nouvelle non plus (bref une époque loin derrière moi).
Je vas utiliser des prénoms réels mais ils n'évoqueront personne que vous pourriez connaître (puisque très génériques).
melting salade | Fin du monde locale |
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