Je suis chez moi, le soir je viens de manger avec Lindsay, c'était un pavé de poisson et du riz, il y avait beaucoup trop de riz, nous décidons de le congeler, j'ouvre le congélateur et y pose mon assiette, Lindsay y pose la sienne directement dessus sans transvaser le riz, je ne dis rien, referme le congélateur, je sors de la cuisine. Je revient et rouvre le congélateur pour manger le riz, je prend les deux assiettes, vide le contenu de l'une des assiettes dans l'autre, au dessus de l'évier. Je trouve alors qu'il y a beaucoup plus de rondelles de tomates que de riz, il n'y en a presque pas, la portion n'étant pas énorme, je la mange.
Je suis en ville, accompagnée d'une femme qui doit faire des courses pour une gamine qui veut des vêtements qui se remarquent, pailletés, rien qu'a ça je la trouve capricieuse. Je fais quand même les boutiques, la femme m'explique ce que je dois prendre comme haut, voir de chaussures, je regarde un peu et tout ce que je vois ne semble pas correspondre aux critères. Je sors du magasin et rentre dans une salle avec des tables surs lesquelles il y a des vêtements, un homme à dû venir m'attaquer, mais il est déjà mort sous une pile de vêtements, avec quelques personnes avec qui je suis enfermées dans la salle, on décide de recouvrir encore l'homme de vêtements, on vide toutes les tables de leurs vêtements et on en mets un peu plus sur l'homme. On décide aussi de faire passer ça pour une bagarre, on renverse les chaises, quelques tables. Quelqu'un est sur le point d'arriver, on se mets derrières les tables, je suis sur une table, qui est en équilibre sur deux pieds. Juste avant que la personne n'arrive, je quitte ma place et va balancer par terre un ordinateur portable.
Je me retrouve chez Fannie, je comprend que quelque chose d'assez grave s'est passé, car nous devons partir, avec ma soeur et Papak au plus vite, ma soeur demande à Fannie une demi-heure pour partir, je lui répond en l'attrapant par le bras qu'on part à l'instant, qu'après ce qu'on leur a fais subir, il n'était pas nécessaire qu'on leur inflige notre présence encore plus longtemps. Nous mettons les valises dans le coffre, et montons, je réalise que j'ai oublié un bagage, il nous faudra quinze minutes pour revenir. Arrivé devant la maison, je vois un papier, à l'envers mais avec écrit en grand "PAYER", c'est ce qu'on dois désormais faire pour rentrer. Je frappe néanmoins à la porte, personne ne répond, je frappe à la porte fenêtre, toujours personne, je reviens à la porte et tambourine dessus. Je cris alors que c'est moi, que j'ai oublié un sac. On me fais entrer, je file dans la chambre et prend le sac, je dois d'abord ranger plein de dessins, auxquels je tiens, je les ranges dans un protège document qui déborde déjà de papier, je range un par un les dessins, en prenant soin de ne pas trop les plier, ça dépasse un peu mais ça ira. Je prends mes affaires et vas dans la voiture. Il doit être treize heure, je m'endors, très peu de temps me semble-t-il, en fait, il est 14h01, je pense que nous ne sommes pas encore arrivé et que nous avons encore beaucoup de route à faire, mais nous sommes tout près de Compiègne.
Test de respiration | Le monstre bleu |
Pas super agréable, comme rêve !
Surtout lorsque je dis qu'on doit partir, je le dis d'une façon comme on dit "c'est pour les grandes personnes" à un gamin, un ton sérieux, indiscutable, à moitié chuchoté.
Suite à une attaque de Spam, les commentaires anonymes sont temporairement désactivés