Je suis dehors, devant moi il y a une falaise, avec plein de monde, dont Soren et Raine1. J'ai envie de revoir dans une BD d'un magazine, une scène2 sauf que dans la bibliothèque qu'il y a devant moi, je ne trouve pas les nombreux magazines qu'il y aurais dû avoir. Je me souviens alors que j'ai donné ces magazines à une voisine3.
Soren parle alors d'une chose que nous voyons sur un écran et a alors sa tête un peu déformé au niveau du menton. Je sens alors que je suis dans la peau de Soren. Quelqu'un arrive et nous emmène dans un hôpital, nous devons être sept ou dix à le suivre. Nous traversons des couloirs et nous arrivons dans une salle de réunion, pour faire le point sur la situation.
Il y a déjà du monde, de grand êtres marrons clair sur une, et d'autres hommes sur les cinq ou six tables . Les pieds de métal sur les quels sont posé des carrés suffisamment grand pour passer dedans, nous servent de table et de chaise. Celles-ci m'arrivent au dessus de la taille et je suis dans un petit carré d'où je suis entré par dessous, il y en a d'autres qui forment le rectangle de la table de deux carrés de large. Au fond, mon groupe est entassé, et autour de moi, il y a deux personnes séparée de moi par un carreaux. Pourtant, j'ai vraiment l'impression d'étouffer contre d'autres personnes.
Nous sommes alors attablé, devant moi, ce trouve Papak, à ma gauche Raine, nous avons tous dans notre assiette une pomme, voire aussi une poire. Un vieil homme qui est au fond de la rangée qui est en face de moi, se fais découpé en morceau sa pomme, qui nous est distribué, malgré le trognon qui lui reste, il racle quand même la pomme où le trognon n'est pas encore apparu.
Je retourne dans la salle de réunion, je passe sous les barres de la table où nous étions, sur lesquelles sont des sacs, ce qui fait que je ne vois rien. J'aperçois alors un oeil, d'un bleu clair magnifique. Puis une main droite à travers les sacs qui ressemble à celle d'un singe, je vois les bouts des doigts en face de moi, je vois alors sur le majeur un oeil, tous aussi bleu que l'oeil, je me retourne, et revois un oeil.
Je trouve un endroit pour entrer dans un carré, je me sens toujours aussi oppressée, alors qu'en face de moi, se trouvent des gorilles, le plus grand au milieu et les autres qui sont chacun des deux côté de plus en plus petits.
La classe des morts | Dans le trou des toilettes |
T'es la première à mettre un lien vers des images ;)
Tu penses quoi du système ?
cool ^^
c'est bien pratique ;)
Je te renvoie un commentaire sur ce rêve : j'ai ajouté une fonctionnalité sur le site : quand tu mets un lien vers une image dans ton rêve, tu auras automatiquement une vignette sur la page, c'est plus convivial.
Tu en penses quoi ?
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