Je suis dans une ancienne unisse désaffectée avec un vieil ami du collège, Jo.
Nous traversons toute l'usine, il fait très sombre, les gens travaillent penchés sur leur établis. Au fond de la grande salle, une énorme machine de fer qui crache un épaisse fumée noire.
Le bruit des machines et des outils et assourdissant, je n'arrive pas à comprendre ce qu'elles font.
J'arrive devant une machine, et une jeune femme brune me regarde et commence à nous hurler dessus. Nous devons nettoyer la grosse machine, celle qui rejette cette fumée noire, et qui rends l'air sombre et irrespirable dans l'usine.
Je commence à frotter sur la machine pour enlever les gros tas de poussière, quand tout à coupe je dois partir. Je me retrouve dehors avec tout le monde.
Les gens partent chez eux, l'usine ferme. Je me retrouve avec mon ami, la jeune femme qui nous dirige est l'usine fermée.
Elle nous dit de nous bouger et qu'elle nous attends dans la voiture. Je commence à marcher et je me rends compte d'avoir oublier mon tee-shirt dans l'usine.
Je fais demi tour et demande à Jo de m'accompagner. Nous devons faire vite, nous ne devons pas être en retard à la voiture. Sinon, elle va être furieuse, nous avons peut d'elle.
A l'usine tout est fermé, Jo me montre une minuscule fenêtre ouverte. De la lumière est allumée, quelqu'un est dedans. La fenêtre est en hauteur, je dois grimper sur des grilles pour l'atteindre.
Je pousse doucement la minuscule fenêtre, et je vois tout en bas, une vieil homme assis sur une chaise avec des milliers d'enfant autour de lui.
Les enfants avaient attachés l'homme sur la chaise et lui tournaient autour. Mon tee-shirt se trouvait autour des yeux de l'homme.
Pris de peur, je couru très vite avec Jo. Une voix nous appela au loin. Un enfant, dans l'encoche de la fenêtre nous dit : nous arrivons !
Une fois dans la voiture, Jo sommes sur la banquette arrière. La jeune femme au volant se retour et avec un grand sourire nous dit : Vous avez vu les enfants ?
Je me reveille brusquement.
la salade fantôme |
Bon retour sur le site, Olitax !
Tu rêves pas souvent, mais quand tu le fais, c'est angoissant ! ;)
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