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Rêvé le 23 décembre 2012 - Nothishade avait 26 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

 

Cela se passe dans un très grand hôpital, du genre ceux que l'on voit dans les films ou séries américaines. Je suis un tueur à gages, envoyé ici avec trois de mes pairs afin d'accomplir plusieurs contrats. Notre but est d'éliminer plusieurs personnes dans cet hôpital. Nous sommes lourdement armés, mais nous devons agir en toute discrétion.

 

Malheureusement, au moins l'un des autres tueurs à gages est également un parfait psychopathe. A peine le sas d'entrée franchi, qu'il se met à tirer sur tout ce qui bouge, et même à lancer des grenades un peu partout. Les gens tombent par dizaines, à tel point qu'il est très difficile de repérer nos cibles dans ce foutoir. Je peste intérieurement, mais je décide de rester concentrer. Malgré la sauvagerie de mes collaborateurs, et le fait qu'il soit désormais parfaitement inutile de rester discret, je décide de n'utiliser aucune arme à feu, et de me servir de ma corde de piano pour accomplir mes contrats.

 

(…)

 

J'ai trouvé ma cible au milieu de personnes terrorisées. Il s'agit d'Layla. Je me glisse dans son dos avec la corde de piano, et je commence à l'étrangler. Je serre fort et je lui dis dans l'oreille « fais la morte, je ne veux pas vraiment te tuer, mais ils doivent te croire morte ». Je serre suffisamment fort pour qu'elle ne puisse pas répondre, histoire qu'elle ne trahisse pas mon plan par sa surprise, puis je relâche progressivement mon étreinte. Je lui demande si ça va, elle me dit que oui, puis elle me demande pourquoi je fais ça. Je lui réponds que je l'aime bien, qu'elle est jeune et jolie, et que ce serait du gâchis qu'elle meure maintenant.

 

La police donne l'assaut de l'hôpital. Mes « collègues » sont occupés à se frayer un chemin au milieu des cadavres, tout en ripostant aux tirs des forces de l'ordre. Cela me laisse le loisir de m'éclipser avec Layla et de trouver un autre moyen de sortir.

 

Je décide d'emprunter et de revêtir une tenue de chirurgien verte afin de sortir. Je dissimule Layla sous une sorte de bâche en plastique bleue1, afin que si je venais à croiser mes collègues, ceux-ci ne voient que j'ai épargné ma cible, et que je l'ai même aidée à s'enfuir.

 

Nous sortons, et je me réveille.

 

La fan, et le rêve en abymeVirée au pays de l'incertitude

Commentaires

  • Loni, le 8 janvier 2013 à 16h29

    Un assassin joli-coeur !

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