Je suis dans un parc de loisirs futuriste, dans un paysage qui ressemble fortement à l’Écosse. Les paysages sont plutôt désolés, mais restent verdoyant (c'est ce qui me fait penser à l'Ecosse). Les visiteurs se déplacent uniquement à pied sur de grande avenues pavées de blanc et bordées de bancs et de lampadaires. La scène se déroule au crépuscule, et le temps est extrêmement sombre et nuageux, on dirait qu'un orage apocalyptique se prépare.
Je suis avec Manfred et Snake. Normalement, Triss et Lilith devraient être là aussi, mais nous ne les trouvons pas. Mon frère et mon père disent qu'ils doivent se rendre à l'hébergement pour réserver, et me chargent de retrouver ma mère et ma sœur.
Je ne sais absolument pas où chercher, mais comme une pluie torrentielle se met à tomber, je me dis qu'elles vont forcément s'abriter dans un bâtiment. Je n'ai pas de parapluie, seulement une simple capuche qui ne me protégera pas longtemps de l'averse, aussi je choisis d'entrer dans le bâtiment le plus proche : une sorte de construction de verre bleuté et d'acier sombre, à quatre ou cinq étages.
Le bâtiment est en fait un bâtiment de recherche, qui n'est normalement pas ouvert au public, dans lequel des scientifiques travaillent sur des espèces aquatiques qui évoluent dans des bassins et des aquariums. Le bâtiment est quasiment désert, et seuls deux hommes en blouses blanches travaillent encore ici à cette heure-là. L'intérieur de la construction est plutôt sombre, seulement éclairé par la petite lampe et les écrans d'ordinateurs du bureau auquel travaillent les deux chercheurs et par l'éclairage bleuté de certains aquariums dans lesquels poussent d'étranges algues et évoluent des poissons colorés.
Les chercheurs ne m'en veulent aucunement d'être ici. Au contraire, ils m'accueillent bien volontiers, et voyant que je m'intéresse aux aquariums, ils se montrent plein d'entrain et m'expliquent qu'ils font des recherches sur des espèces qui seront plus tard introduites dans les étangs et les lacs du parc. Je les écoute avec un réel intérêt, puis je me souviens pourquoi je suis entré ici, et je leur demande s'ils n'ont pas vu ma mère et ma sœur, en les leur décrivant. Ils me disent qu'effectivement deux personnes sont passées ici, mais qu'elles sont reparties après quelques minutes.
Je ne sais plus trop ce qui s'est passé ensuite, mais je sais que j'ai fini par les retrouver à un autre endroit du parc, et il me semble que c'était près de toilettes. Ah les femmes !
Des friandises délicieuses... mais écœurantes | Fragment : La bourde |
J'imagine que l'averse n'avait quand même rien à voir avec l'évocation de la noirceur des nuages ?
C'est possible que si, et puis ça fait plusieurs rêves que je fais dans lesquels il y a de gros nuages noirs qui annoncent une averse.
J'adore les rêves où il fait ce temps-là. Dommage qu'il n'y ait pas la suite ;)
Ah ! Ah ! Tu risques d'être servie, avec mes rêves. Ils ont souvent des climats étranges, qu'il s'agisse de pluie, de tempêtes, de tempêtes de sable, d'ouragans, de tsunamis... Sans parler du fait qu'ils n'ont que rarement lieu en plein jour :)
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