Lizbeth Salander 2 veut se venger de son pervers de tuteur. Celui-ci habite dans un appartement luxueux, dans le port de Marseille 3.
Lizbeth a décidé d'infiltrer l'appartement afin de l'assassiner. L'appartement est grand et plutôt luxueux, mais il a un peu les mêmes teintes dégueulasses que l'appartement du rêve précédent : tout dans le beige et le vert kaki, avec des tapisseries de tissu étouffant aussi bien les sons que l'atmosphère. Là, à la place de trouver son tuteur, elle trouve un cadavre et... un bébé4. Elle comprend que c'est son bébé 5, mais que celui-ci était officiellement celui de la personne assassinée se trouvant à ses pieds, car Lizbeth était jugée inapte à s'occuper d'un enfant.
Elle comprend que tout ceci est un piège particulièrement retors de son tuteur : celui-ci lui a donné de fausses informations sur son lieu d'habitation en lui communiquant le lieu qu'habitait la personne en charge de l'enfant de Lizbeth. Et puis il a tué cette personne en laissant le bébé en vie, car il sait que Lizbeth voudra reprendre son bébé à tout prix : vu son mental instable, l'enquête aboutira sur son entière culpabilité, et elle sera donc accusée d'assassinat et d'enlèvement.
Lizbeth prend le bébé, et essaye de s'enfuit au plus vite. La porte du hall de l'immeuble s'est refermée derrière elle, et apparemment il faut une clef pour l'ouvrir, même depuis l'intérieur. Elle comprend que son tuteur a sans doute d'ores et déjà prévenu la police. Il doit compter sur le fait que Lizbeth soit enfermée dans l'appartement pour que la police aie le temps de la coincer.
Un élément vient la sauver : une vieille dame sort de chez elle, passe devant Lizbeth et ouvre la porte à sa place. Lizbeth sort en vitesse de l'immeuble, son bébé au bras, et se précipite dans ma voiture. Elle me raconte très rapidement toute l'histoire et me demande de la sortir de là. Je décide de l'aider. Une voiture de police arrive sur le parking de l'immeuble. Je me dis que le mieux à faire est de conduire très lentement, genre « j'ai rien à me reprocher, c'est une journée ordinaire ».
Je sors du parking et commence à rouler un peu plus vite. A un rond-point, je croise une autre voiture de police. Je ralentis, Lizbeth et moi faisons notre « Poker-face » la plus convaincante possible.
(ellipse)
Nous avons regagné notre appartement 5. Lizbeth commence à pleurer, à la fois de soulagement de ne pas avoir été attrapée, de stress car elle se sait recherchée à présent, et de désespoir car elle sait qu'elle aura maintenant le plus grand mal à se venger de son tuteur en étant activement recherchée par les autorités.
Elle s'assoit sur le lit puis voit une guêpe au sol 7... Elle s'écarte rapidement et en voit une autre, puis encore une autre, qui tombent d'une petite fissure entre la fenêtre et le mur. Je lui dis qu'il doit y avoir un nid dans le mur. Je me dis qu'on ne peut pas laisser ça comme ça, on risquerait d'être piqués la nuit. Je réfléchis à comment nous en débarrasser, puis je décide de me mettre en quête d'un extincteur pour les asphyxier.
Fragment : Un bébé loquace | Fragment : Le ferry est les Tibétains |
Encore une intrigue bien amenée de ta part ! Laisser le bébé près du cadavre pour la forcer à le prendre avec elle est vicieusement retors.
J'ai raté ma vocation de politicien !
Ou de mafioso ;)
C'est pareil ! :p
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