La retraite de l'Arsouille, et la conversation en tchèque
Je suis dans une grande ville. Je « travaille » avec un homme qui monte des arnaques et des vols. Il se fait appeler l'Arsouille.
Nous sommes en train de monter un coup pour nous introduire dans l'appartement d'une vieille grand-mère, afin de lui dérober ses richesses. Nous y arrivons une première fois, mais l'appartement ne présente aucun signe de richesse.
Je propose à mon « collègue » d'abandonner le plan car notre cible est trop modeste. En plus, je me sens très mal de faire ça. Il me dit qu'il veut continuer. Mais nous nous retrouvons dehors, bredouilles. Je lui demande de tout arrêter, en lui disant que ce que nous faisons n'est pas « positif » du tout. Mais il s'introduit tout de même une seconde fois dans l'appartement.
Au bout d'un moment, il en ressort, sans rien. Il me dit qu'il hésitait à voler l'ordinateur portable de la grand-mère, mais il a culpabilisé au dernier moment et a renoncé. Je lui dis que c'est très bien comme ça, et que les ordinateurs peuvent souvent contenir aujourd'hui des fichiers à forte valeur sentimentale qu'il serait douloureux pour la victime de perdre. Il acquiesce, et nous rentrons chacun à notre domicile.
Je partage mon domicile avec un coloc'. La maison est plutôt grande. Ma chambre se situe dans une mezzanine directement sous le toit, au dessus du salon principal. Je voudrais me reposer, mais mon coloc' a invité des gens, et ils sont tous dans le salon. Je me rends compte qu'ils sont tchèques, et je me souviens alors que je suis en République Tchèque.
Mon coloc' ne parle pas un mot de tchèque, et il leur parle dans un mauvais anglais. J'écoute un peu ce qui se dit, mais ils se mettent à chanter une chanson de ?echomor. Vu que j'aime beaucoup ce groupe, je me dis que ce serait un moyen d'amorcer la conversation et de « tester » un peu mon tchèque. Je décide donc de descendre et de me joindre à eux.
Je leur demande d'abord qui parle français, personne, puis anglais, quelques uns lèvent la main. Je leur dis en tchèque « Ne mluvím ?eštinu dob?e » (je ne parle pas bien tchèque), histoire de leur annoncer la couleur. Puis je cherche comment on dit « musique » en tchèque, mais la conscience commence un peu trop à pénétrer le rêve, et je me réveille.
Dommage ! Moi qui suis habituellement plutôt réservé, je me sentais plutôt bien de parler avec eux, voire même de chanter !
Bon, sinon, examinons :
Aucune raison pour que je sois le collègue d'un voleur. Par contre, le fait que je lui demande de renoncer en disant que ce n'était pas « positif », cela vient d'une conversation « philosophique » que j'ai eue avec Amelia la veille.
La République Tchèque, c'est toujours un des pays dans lesquels je souhaite travailler un jour. Le groupe Cechomor : l'un de mes groupes tchèques préférés, mais aucune raison que j'en rêve, sauf par association d'idées. (ci-dessous, l'un de leurs morceaux)
| Peter Weller et le mini-tsunami | Le tsunami. |
Commentaires
Loni, le 16 mars 2011 à 11h05
J'ai pris le temps d'écouter le morceau, j'aime beaucoup (Même si je l'écouterai probablement pas en boucle).
Nothishade, le 16 mars 2011 à 11h17
C'est à approfondir, surtout si tu aimes le violon !
Sinon, je n'écoute jamais rien en boucle, après j'aime de moins en moins et ça finit par me saouler ;)
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