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Rêvé le 3 juin 2011 - Nothishade avait 24 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis venu à la tour pour participer à ce fameux jeu qui a lieu en direct le samedi matin de 11h30 à midi 1. Nous sommes plus d'une centaine à y participer.

La tour, c'est un immeuble de 5 ou 6 étages, en plus de 2 ou 3 niveaux souterrains. La tour renferme des décors d'appartements parfaits, du genre magasin de mobilier à la I.kea ou autre. Tout beau, tout propre. Des appartements tout équippés avec chambres, cuisines, salons, salles de bain, tout ça comme sur catalogue. Des chaufferies, des caves et des pièces "utiles" en sous-sols.

Le principe du jeu est simple : les gens doivent s'entraider et s'entretuer. J'explique. Le but principal est d'éliminer les adversaires. Pour cela, on peut soit jouer en équipe, soit solo. En équipe, on part avec un handicap au niveau de l'équipement, on gagne moins de points, et on en perd même à chaque fois qu'un des nôtres se fait avoir, pour compenser l'avantage du nombre. C'est pourquoi j'ai choisi de jouer solo ! Toutefois, tout ça se fait dans la joie et dans la bonne humeur, car même si nous utilisons des armes réelles utilisant des munitions réelles, quelque chose 2 fait que personne ne peut mourir pendant la durée de la partie.

Le Mandarin est à l'accueil des participants. Il m'explique qu'il fait ça bénévolement car ça lui donne le droit de participer plus souvent au jeu que les autres. Il me donne une friandise de bienvenue (un genre de t.wix3), ainsi qu'une arme de corps à corps de style pied de biche[c'est aussi lui qui m'a fait connaître Half-Life, héhé...).

Le jeu commence. Je file à toute vitesse vers un endroit dans les étages supérieurs où je sais que sont cachées certaines des meilleures armes. Je me déplace discrètement pour ne pas rencontrer les participants déjà mieux armés que moi. Je finis par trouver les objets que je convoitais : deux AK-47. J'en prends un dans chaque main, et je commence à sulfater tous les participants que je croise. Mon score augmente à une vitesse incroyable, au fur et à mesure que je détruis le décor et que j'abats les autres joueurs. Je me dis que j'ai dû rapidement devenir le favori du public et que toutes les caméras doivent être braquées sur moi, vu le nombre de participants que j'ai vaincus. Cependant, au bout de quelque chose comme cinq minutes, je tombe à court de munitions et je me retrouve à nouveau avec mon pied de biche, avec lequel j'élimine encore deux ou trois participants en me dirigeant vers les sous-sols.

Arrivé au sous-sol, je me retrouve dans une sorte d'entrepôt et derrière des caisses en cartons, je trouve mes nouveaux jouets : une paire de lances-grenades M79. Je fais un nouveau carnage, en faisant s'écrouler une bonne partie des étages que je parcours et en éliminant une bonne douzaine de personnes. A ce moment-là, je comprends que l'on marque des points aussi en détruisant le décor, et que c'est pour cela que le jeu n'a lieu qu'une seule fois par semaine : il faut du temps pour tout reconstruire entre chaque séance.

Mais toutes les meilleures choses ont une fin, et je me retrouve à nouveau à court de munitions. Cette fois, je sais que je risque fort d'être éliminé, mais je me dis que ce n'est pas grave car le jeu touche à sa fin et j'ai déjà l'un des meilleurs scores.

Ce rêve était particulièrement défoulant et avait une sacré bonne ambiance, à mi-chemin entre jeu-vidéo et Takeshi's Castle.
Le principe me faisait penser à Battle Royale dans l'idée, mais où il n'y aurait, miraculeusement, aucun mort, les gens "mourant pour de faux". Ce qui était bizarre car les armes que nous utilisions étaient bien réelles.

Le rassemblement et l'attentatLe Runner et la boulangerie

Commentaires

  • Loni, le 3 juin 2011 à 21h33

    C'est marrant, le coup des deux armes identiques à chaque fois.
    Sinon, quand tu les tuais, il y avait du sang, ou tu les voyais juste tomber ?

  • Nothishade, le 3 juin 2011 à 21h43

    Oui, ça faisait très fusillade à la John Woo, les armes doubles et les morts au ralenti ! :)
    Sinon, je ne me souviens pas avoir vu de sang, je crois que je les voyais juste tomber, comme dans les films d'action tout public. En fait, pendant les fusillades, les gens étaient comme "désactivés" par les tirs, mais le décor se disloquait normalement, comme sous l'effet de vraies balles. Les armes tiraient de vraies balles et de vraies grenades... et on tapait vraiment les gens au corps à corps.

  • Loni, le 3 juin 2011 à 22h13

    J'avais pas pensé à John Woo, mais maintenant que tu le dis ;)

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