Je suis dans une grande ville française, comme Bordeaux, Lyon ou Marseille. Je me promène dans un port avec Floflo. La rue qui borde la chemin est assez passante. Puis on se rend sur une autre rue, elle aussi assez importante, où elle a garé sa voiture. Sauf que lorsqu’on la trouve, toute la carrosserie a été démontée. Il n’y a plus qu’un « squelette » d’acier. Elle entre dans une colère folle et crie « Ah non pas encore ! ». Apparemment, elle avait déjà eu des problèmes avec sa voiture1 et les ennuis semblent tenaces. Je lui demande si elle avait pensé à verrouiller la voiture ou si elle avait laissé les clés dessus par mégarde. Elle se met encore plus en colère, en sortant une phrase dans le genre : « Mais bien sûr que non ! Tu me prends pour qui ? ».
Mes parents arrivent et constatent l’état de la voiture. Ils ont la même réaction que ma sœur. C’est comme si c’était la 3ème fois dans le mois que ça lui arrivait. Mumu entre dans le commerce juste en face de la place de parking et demande à la propriétaire, une femme assez forte, si elle a vu quelque chose. Elle répond que non, gênée. Son expression est gêné dans le sens où elle se semble se sentir coupable et non pas parce qu’elle est désolée pour nous. Sa réaction me semble louche, surtout que sa boutique a une immense baie vitrée et qu’une partie de ses articles 2 sont dehors. Ma mère commence à lui faire la morale, en lui disant qu’elle ne l’a pas payé pour rien ! Je demande des explications à ma sœur pour cette dernière phrase. Elle m’explique que ma mère avait payé la commerçante exprès pour qu’il n’arrive rien à la voiture et qu’elle garde un œil dessus. Je commence alors à être aussi remontée que ma mère, n’aimant pas du tout le fait qu’elle n’ait pas fait le job pour lequel on l’avait payé.
La commerçante essaye de se rattraper en disant qu’elle va essayer de mener l’enquête dans le quartier pour récolter des infos et trouver qui a bien pu faire ça. Ma mère lui réponds « J’espère bien que oui vous allez le faire, c’est la moindre des choses ! ». La femme fait un signe à son fils, un jeune homme d’une vingtaine d’années qui ne semble vraiment pas avoir inventé la poudre et il part en vitesse faire un tour dans le quartier pour commencer à nous aider.
Tapis roulant, stylos et musée de la torture | Sur l'eau |
"un jeune homme d’une vingtaine d’années qui ne semble vraiment pas avoir inventé la poudre" mdr :D
:) c'est vrai, il avait l'air d'un abruti fini. Et là tu te dis "bah si ce type là dois m'aider dans mon enquête, on est pas rendus..."
C'est clair que c'est un peu tard pour agir, surtout avec une flèche comme lui!
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