Je suis avec les personnes avec qui je fais des rallyes (Soleil, Floflo, Danseuse, BdN et Fifine). Nous sommes dehors, en train de prendre un pique-nique dans le jardin d’une grande propriété moderne. La maison est faite de formes géométriques un peu improbables et a de grandes baies vitrées. Je ne sais plus exactement ce qu’on fait mais on joue à des jeux pour gamins (genre chat, coloriages, etc.). Je me souviens faire un puzzle de 8000 pièces. Il est immense. Je galère pour trouver toutes les pièces dans l’herbe.
Puis nous nous mettons à discuter d’un livre autoédité par une amie. Les autres me demandent ce que j’en pense. Je n’ose pas leur dire que je ne l’ai pas trop aimé 1, par respect pour mon amie, et je leur dis évasivement que ce n’est pas mal même s’il faudrait faire des petites modifications.
Je ne sais plus comment y en arrive là mais tous les élèves de ma promo arrivent et commencent à critiquer le fameux livre, avec des propos vraiment agressif qu’il ne mérite tout de même pas. Je me dresse contre eux et soutiens qu’ils se trompent. Après tout, il n’était pas si pourri que ça et je n’accepte pas qu’ils démontent mon amie ainsi. Finalement 2 groupes se montent l’un contre l’autre, moi dirigeant celui de la défense. Nous sommes en sous nombre par rapport à l’autre groupe.
On commence à se faire une mini guerre stratégique dans le bâtiment moderne. Le but étant de se cacher des autres et de leur tendre des pièges ridicules pour qu’on se moque d’eux. Genre, faire des discours enflammé où on leur balance des vannes et fuir. Ou alors mettre de l’eau par terre pour qu’ils glissent dessus.
Ils finissent par réussir à nous enfermer dans une salle entourée de baies vitrées et ils nous narguent de l’autre côté de la vitre. Puis après l’humiliation, ils s’en vont. Nous souhaitons notre revanche et préparer un 2ème round. Nous somme environ 5-6 dont un grand type blond et baraqué qui est une totale invention. Il arrive à forcer la porte On arrive dans un couloir étroit avec au bout des grosses portes coupe-feu, impossible à ouvrir. Il y a une autre petite porte dans le couloir : elle donne sur un vestiaire. On ouvre la porte mais on se rend compte qu’ils ont mis un gaz toxique dans la salle. Bizarrement même si la porte reste ouverte, le gaz reste confiné dans le vestiaire. Nous savons qu’il y a un levier ou un espèce de déclencheur qui permettrait d’ouvrir les portes. Le gaz est très toxique pour la santé : on ne ressent pas ses effets sur le coup mais en fait il réduit notre durée de vie. Nous sommes offusqués par de telles pratiques de la part de l’autre groupe : ils sont allés bien trop loin. Le local est petit mais il y a des vêtements de partout et des casses par terre contenant encore d’autres vêtements. Nous entrons en retenant notre respiration et commençons à chercher mais évidemment nous devons sortir souvent pour prendre une bouchée d’air et notre recherche est donc très lente. Je ne sais pourquoi, mais nous sommes très pressés et nous ne pouvons pas nous permettre de perdre de temps.
Le grand typé décide alors de se « sacrifier » et de respirer pour chercher plus efficacement. En tant que chef du groupe je me sens coupable de le laisser prendre cette responsabilité tout seul et je l’imite. Les autres nous disent qu’on est fous. Je hausse les épaules en disant qu’il faudra bien mourir un jour de toute façon et qu’on ne sait jamais quand.
Finalement le type trouve le déclencheur qui ouvre une porte coulissante dans le vestiaire même. Le passage est étroit et il faut ramper. Nous nous précipitons dedans, de peur que nous ayons déjà perdu trop de temps. Nous revenons dans le jardin du début.
Ma famille et des amis sont attablés sous un cerisier, en plein été. Ils semblent heureux. Nous les rejoignons. Mumu me demande gentiment comment s’est passé notre jeu de rôle. Ah, c’était donc ça…
Photos insolites | Nouvelle adresse |
Angoissant quand même, pour un jeu de rôles !
Et ouais, j'ai pas fait ça à moitié ^^
Suite à une attaque de Spam, les commentaires anonymes sont temporairement désactivés