La maison de Blanche-Neige
Je suis un sentier qui chemine en pleine nature. Je passe par des champs remplis de fleurs sauvages, des clairières, des forêts, etc. Le sentier semble éloigné de toute âme qui vive. Je cherche la chaumière de Blanche-Neige et ce chemin doit m’y mener. Je finis par arriver à destination. On dirait la chaumière d’une vieille sorcière. Je ressens comme un mauvais sortilège qui plane sur la maison. J’y entre cependant. Elle est à l’abandon et pleine de toiles d’araignées. Je dois y dénicher quelque chose mais je sens que ce que je cherche a disparu depuis longtemps. Je mets en cause l’enchantement que j’ai ressenti et qui est, j’en sûre, l’œuvre des nains. La demeure est devenue maléfique et je ne tarde pas à m’enfuir, ayant peur que quelque chose de mal m’arrive. J’en conclus que Blanche Neige a fui depuis longtemps, elle aussi. Je suis gênée de revenir bredouille, la quête semblait d’une grande importance.
Le Labyrinthe
Je me trouve dans un grand hall, je pense qu’il est souterrain. En tout cas c’est l’impression que j’en ai bien que le hall soit très clair et accueillant. Il y a au sol un grand tapis rouge. Il y a une seule porte que je dois prendre, comme d’autres personnes l’ont fait avant moi, apparemment. J’ouvre la porte et arrive dans un labyrinthe. Au début il ressemble à celui d’Alice puis les murs deviennent de pierres beiges. C’est assez vague mais je crois qu’à un moment il y a un damier au sol et une partie avec des murs violets écœurants. Il y a des objets ou des espèces de pseudo-monstres à certains endroits, comme dans le jeu de société Labyrinthe. Je me souviens notamment d’une tortue avec une couronne. Au bout d’un moment, je me résigne de trouver la sortie (ou tout du moins le but que je dois atteindre) et fais demi-tour. Je reviens dans le hall du début. Il y a du monde qui vagabonde dans le hall, contrairement au début. L’endroit semble animé. Là, un des murs est tapissé entièrement de clés. Je dois en décrocher une mais j’ai du mal à la localiser et une fois que c’est fait, je dois escalader le mur pour l’attraper, avec grand peine.
Le château enchanté
J’ai le souvenir d’un château féérique, comme l’on s’imagine les châteaux des princes et princesses dans les contes. Il est de couleur pastel, très apaisant. Il se trouve au bord de la mer, et il y a de jolis éclats de soleil qui se réverbèrent sur l’eau et la font étinceler ainsi que briller le château, je en sais comment. Je suis au pied du pont levis et il y a des petites fées qui volètent autour de moi. Le soir tombe et je vois que les fées brillent comme des lucioles multicolores. Je pénètre dans le château. Je ne sais plus ce qu’il s’y passe au début mais par la suite je me revois ramper dans des conduits. A un moment, le passage est fait de bois avec des grillages de bois sur les côtés ou en dessous, qu’il faut enjamber. En bas, je vois de l’eau. Il y a d’autres conduits du même genre. C’est comme si j’étais dans un réseau de tunnels sous le château et que celui-ci était construit sur pilotis. Je vois des personnes qui nagent dans l’eau cristalline.
Le quartier encerclé
Je vagabonde dans une ville. Je cherche quelque chose. Je monte dans la ville haute, celle des paysans. La ville devient dans un style de moyen-âge ou à l’ancienne en tout cas. J’arrive sur un plateau où les habitations sont entourées d’un muret par endroits et d’une barrière à d’autres, comme pour délimiter le quartier. Je passe la barrière. C’est comme si j’arrivais sur la place d’un petit village. Puis je regarde mieux autour de moi et je constate que je me trouve au milieu d’un cimetière, des croix très simples en bois ou en pierre étant plantées dans le sol. Un vieux monsieur est là. Il m’amène dans la chapelle miteuse près de là. Elle est en bois et très très petite. On s’assoie sur un banc. Il me dit que c’est ici le village des magiciens et que c’est pour ça qu’il est séparé du reste de la ville, qui les craint. Il rajoute que son vénérable frère vient de mourir et que donc malheureusement, comme je le cherchais, ça va être dur de m’entretenir avec lui.
La ville méditerranéenne
J’erre dans une ville méditerranéenne, construite à flanc de montagne. Je cherche une rue particulière toute la nuit, sans succès. Je suis éreintée par ma quête, qui semble ne jamais finir. J’étais presque sûre de trouver ma destination vite, mais il semble que je me sois perdue. Au lever du jour une rue me semble familière et je m’y engage. J’arrive sur un point de vue en hauteur qui donne sur le port, en contre-bas. Le paysage est très beau et très ensoleillé. Puis je vois une volée de marche devant moi. Je sais que je dois suivre cette route mais je suis découragée car je n‘en peut plus et ne me sens pas la force de les monter.
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