1) Je marche tranquillement dans la rue, dans un endroit très proche de chez moi, quand un grand type en noir m'attaque par derrière et m'embarque dans une grosse berline. Je suis si paniqué que je ne fait rien pour tenter de me débattre. La voiture prend de la vitesse alors que je ne vois rien par les fenêtres. Je touche mes poches et me rend compte que je n'ai même pas mon portable sur moi. Je pense alors à mes parents et à ce qu'ils vont penser quand je ne rentrerais pas à l'heure ce soir là... Par contre, dans la poche interne de mon manteau, j'ai toujours une lame, donc je me calme, je respire à fond et j'attend le meilleur moment pour essayer de m'en servir...
Finalement, après trente minutes de conduite sportive, nous arrivons dans un espèce d'institut, en pleine forêt et les types en noir, en bon professionnels qu'ils sont, me délestent finalement de ma lame après une fouille au corps... J'essaye de me défendre, mais l'un d'eux me met par-terre en un seul coup. Je renonce, n'était pas assez fort pour lutter.
Un espèce de vieux riche arrive alors dans la cour et me serre la main comme si de rien n'était. Il me dit quelque chose comme : "Félicitations, vous êtes l'un des nouveaux candidats de mon stage ! Réussissez et à vous la gloire et la forture !" Puis il disparait aussi vite qu'il est arrivé. Une maid encadrée par deux types en noir arrive à son tour et me demande de la suivre. Elle porte d'ailleurs l'un des uniformes les plus sexy qu'il m'eut été donné de voir.
J'arrive finalement dans un espèce de vestibule ou d'autres types attendent aussi, et à leur regard, je vois que je ne suis pas le seul à m'être fait enlever. Les lourdes portes donnant sur la pièce se referment brusquement et, dans un bruit sourd, un espèce de râtelier d'armes jaillit du sol, avec des noms inscrits sur les casiers. Je me dirige vers le mien, et j'ai récupére un gros couteau de chasse et un petit pistolet de calibre 22.LR1. Puis, une grosse grille qui semble apparaître de nulle part s'ouvre sur un paysage désolé. Au fond de ce paysage se trouve la lisière de ce qui ressemble à une jungle. Un type dans le groupe qui se prétend expert en technique de survie dit qu'il faut la rejoindre avant la tombée de la nuit, qui s'effectuera dans un peu moins de trois heures. Je dis aux autres que c'est une bonne idée, car il y'a plus de ressources et d'abri dans une forêt, qu'au milieu d'un désert de plaines.
Tout le monde emboite donc le pas du type qui s'y connait quand nous entendons un hurlement bestial sur notre droit. Un énorme bêlier nous charge, de la bave écumant de son muffle déformé en une grimace meurtrière. Cette bestiolle était tout sauf normale et je n'ai qu'un seul réflexe, choper la crosse de mon flingue et lui vider sur la tronche. Malheureusement, le calibre n'est pas assez puissant pour la faire s'arrêter et elle me fauche comme un fêtu de paille. Je vois le ciel, le sol, puis de nouveau le ciel avant de m'écraser lourdement sur le dos. J'entends quelque chose craquer méchamment et puis je ne sens plus mes jambes, mais je n'ai pas mal. Les autres s'occupent de la bestiolle avec leur arsenal, il me semble même entendre une grosse décharge de fusil à pompe. Quand ils viennent finalement me voir, je peux me relever. Par miracle, je n'ai rien. Je n'ai plus que mon couteau et une soif d'enfer, il faut vite que nous trouvions un point d'eau et une planque pour ne pas mourrir de froid.
Mon rêve s'arrête lorsque nous avons un abri, un feu, de l'eau et que les autres mangent des insectes. Curieusement, dans ce contexte en réel, j'en aurais bien sûr mangé même si ça me répugne, mais j'ai du me dire inconsciemment que c'était un rêve et que je n'en ferai pas l'expérience tant que ce n'était pas absolument nécessaire.
2) Je suis avec Ksail et nous marchons en direction d'un gros complexe militaire, en débattant sur des faits historiques. Nous devons visiter la base pour un exposé, mais l'un des sodats pensent qu'on est de nouvelles recrues et ils nous pousse vers le terrain d'entrainement, malgré nos protestations. Là, ils nous font jouer un match de football américain. Ksail et un des membres de la ligne alors que j'hérité du poste de Quaterback. Je ne me prend pas trop de coups, mais mon camarade lui, morfle sévèrement tout le long de la partie. Je ne peux pas m'empêcher de le taquiner après, et le type qui nous à forcer à jouer vient finalement nous voir en nous disant qu'on peux rejoindre l'équipe si on le veut. J'accepte, mais pas mon compagnon étrangement...
Deux rêves qui n'ont rien à voir entre-eux. Le premier était vraiment glauque alors que le second était plus drôle sous de nombreux aspects.
La ruée vers l'or ! |
Dingue ces deux rêves :D Tu fais du tir ou une activité s'en rapprochant pour rêver à ce point d'armes, de "missions" ou de militaires? :p
J'ai presque jamais tiré avec de vrais armes. Je fais de l'Airsoft, mais de manière très occasionnelle. Et pourtant, je suis loin d'être un fou de la gâchette. Bon, j'aime bien les armes pour ce qu'elles sont : un mécanisme à comprendre et de l'ingéniosité. Pour le second rêve, c'est parce que j'avais discuté d'évènements sur la guerre du Mali avec le père d'un de mes amis qui était Colonel d'une division blindée, dans l'Ouest du pays.
Voilà voilà ^^
Ca explique quand même pas mal de choses ^^C'est cool :D
Je comprends ta fascination pour la mécanique des armes à feu ;)
Et sinon j'adore ta description de ton vol plané !
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