J'embarque dans un avion avec Pierre Bunk pour passer un week-end à Rome. Les places ne sont pas réservées, et nous déplions deux sièges1 côte à côte. Deux organisations sont possibles : deux sièges côte à côte en laissant des allées de chaque côté, ou la configuration actuelle : les sièges placés dos aux parois, laissant une grande allée centrale. Comme je n'ai personne à ma droite, je mets mon sège contre la paroi, mais face à l'avant de l'appareil, au grand étonnement de la personne en face de moi2.
Notre moniteur, Jean-Paul Rouve3 nous explique le programme : c'est un week-end de détente, donc aucune visite n'est prévue, ce qui nous convient parfaitement. Il nous dit que les nuits seront fraîches, et il nous déconseille de garder les fenêtres ouvertes4 à l'hôtel. Il explique également que deux retours sont prévus : le dimanche soir et le lundi, pour ceux qui ont pu obtenir une journée, ce qui n'est pas mon cas.
Après son discours, je me rends compte que personne ne nous a demandé de nous attacher, bien que nous soyons prêts à décoller. Je boucle mon harnais5.
Le corset de cuir | Pétanque-golf |
C'est assez impressionnant comme les évènements de la veille influent sur tes rêves. Moi, à part quelques exceptions (genre les magazines en ce moment), c'est toujours plus lointain, genre plus de deux jours auparavant, voire parfois des semaines ou des mois...
On va dire que je suis très influençable (Ou que j'assimile vite) ;)
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