Nous allons au centre commercial pour l'anniversaire d'un ami. C'est Victoria Silvstedt1 qui conduit. Je suis derrière elle, les mains sur ses seins, tenant l'armature de son soutien-gorge comme s'il s'agissait d'un volant. Elle me laisse faire car je le fais sans violence ni méchanceté.
Quand nous arrivons au centre commercial, je parle à Pierre Bunk du combat d'Ultimate Fighting2 qui va se disputer ici. Nous nous promenons dans les allées, et Maman me demande si je ne peux pas mettre un pantalon : je suis en effet en short de pyjama.
Je fouine un peu dans les rayons, me demandant si je dois voler un pantalon ou un short. En approchant d'un rayon, je vois un paravent de tissu qui me cacherait bien du regard des vigiles, mais je n'ose malgré tout rien voler.
Je finis par retrouver mon pantalon, que j'enfile sur-le-champ. Je le remonte au plus haut que je peux; il m'arrive aux aisselles tandis que les jambes finissent sur mes chevilles. Je redescends le pantalon sur mes hanches en serrant bien la ceinture, et fais des ourlets sur mes jambes pour qu'elles ne traînent pas3. Je retrouve Maman, qui me demande où je l'avais rangé. Je ne sais pas quoi répondre; je ne le sais pas moi-même ! Il n'était pas dans une poche de mon pyjama ?
Je vois ensuite Papa, et lui explique les principes de l'Ultimate Fighting4. Je lui dis que lorsqu'un des combattants est à terre, son adversaire a deux possibilités : il vient l'achever au sol, ou il peut tenter de le déstabiliser en chantant un air d'opéra5.
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