Je suis dans une piscine et je porte une combinaison de plongée. En sortant de l'eau, je me rends compte qu'il s'agit d'une combinaison pour femme : il y a de la dentelle par endroits. Je me dépèche de l'enlever avant que sa propriétaire ne revienne, mais j'ai beaucoup de mal à dégager mes épaules : la combinaison est tellement serrée que je sens la dentelle craquer en plusieurs endroits. La propriétaire, une jeune femme, arrive juste à temps : je viens de l'enlever, mais je crains toutefois que mon odeur, à l'entrejambe, ne me trahisse. Nous passons un très agréable moment tous les deux, et une véritable complicité semble s'installer.
Je reviens ensuite parmi les autres, et un garçon nommé Clément m'interpelle. Il m'explique que la jeune femme est sa copine, et il m'interdit de tourner autour d'elle. Je lui demande ce qu'il craint : que je la lui vole ? Je suis plus âgé que lui et pas forcément plus séduisant1. Il m'interromp, et m'envoie en flashback le générique de la série2, où on ne voit que moi, qui ai l'air cool en toutes circonstances, même en faisant une glissade avec un pantalon en cuir. Je lui concède alors que, même si c'était le cas et que sa copine me préfère à lui, je suis quand même amoureux de Sachiko. Il n'en croit pas un mot et, ce doute m'exaspérant au plus haut point, je lui donne une tape sur la joue. Un de ses copains arrive avant que nous n'en venions aux mains.
Plus tard, lors d'un cocktail, Clément vient me rejoindre dehors. Je lui dis que je refuse son utlimatum : je ne vois pas pourquoi je ne pourrai plus parler à sa copine. Fâché, il fait un mouvement brusque qui brise le verre en cristal que j'avais reçu en cadeau et que je tenais à la main. Je jette ce qui reste du verre dans un parterre de fleurs à ses pieds. Vert de rage, il me gifle du plus fort qu'il puisse, mais j'encaisse sans broncher. Je lui dis que sa copine a vu la scène qu'il vient de faire : que va-t'elle penser de lui à présent ?
Au matin, j'avais la Sarabande de Haendel en tête. Je me suis rendu compte plus tard, dans la journée, que c'était parce que j'avais vu la veille une des pubs de Coca pour le SuperBowl.
Le toit ouvrant | Osseu |
Hey Loni, je savais pas que tu faisais aussi l'acteur... ça doit être bien de provoquer des jalousie, je veux dire pour l'égo !
Oui, c'est toujours gratifiant !
Et c'est bon signe : d'habitude, ma représentation onirique n'est jamais très glorieuse. Il faut croire que j'améliore mon image inconsciente de moi-même.
Par contre, je n'ai pas compris l'allusion à l'acteur...
Tu es un exemple de zénitude dans ce rêve !
Et c'est clair, ce rêve a dû te faire du bien à l'égo (c'est peut-être pour ça que tu es aussi zen à la fin, tu as gagné sans jouer, non ? ;) )
Zen, zen, c'est quand même moi qui lui donne une gifle en premier, au gars ;)
Pour la fin, par contre, tu as raison : je n'ai même pas eu besoin de me battre avec lui pour qu'il se ridiculise tout seul.
Pour l'allusion à l'acteur : "le générique de la série2, où on ne voit que moi..."
Ha oui, pardon ;)
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