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Rêvé le 4 février 2008 - Loni avait 27 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je me dirige vers le lycée avec Pierre Bunk et quelques amis, mais j'hésite encore à y aller : je n'ai pris aucune affaire, et je dois faire un travail à la maison1. Arrivés devant la porte, je décide de faire demi-tour, et de retourner à la maison chercher mes affaires. Je sais que le trajet me fera arriver une heure en retard, mais je le fais tout de même.

Sur le chemin du retour vers l'école2, je rencontre Calisto, sa mère et son petit frère3, qui insiste pour que je le porte dans mes bras. Je le prends deux minutes et le repose, me dirigeant vers le lycée. Je passe par l'entrée de derrière, où se trouve un surveillant chargé de compter les absences et les retards. Je lui montre ma carte d'identité, alors qu'il vérifie généralement les passeports4. Il en est tout perturbé, et note mon numéro sur sa feuille. Dans un accès de prescience5, je sais que cette absence ne me sera pas reprochée. En regardant d'un peu plus près, je vois le nom de Guiscard. Le surveillant me dit que c'est dommage d'en arriver là, parce qu'il était modérateur. Je vois sur la feuille qu'il est "membres", donc renvoyé6.

Je m'éloigne du surveillant, et me demande si je ferai bien d'aller au cours suivant. Le prof7 nous avait demandé de perfectionner notre frappe au clavier (J'avais noté en marge de m'entraîner dans les toilettes avec le portable), ce qui ne me pose pas de problème, mais il nous avait également demandé d'apprendre par cœur un tableau de correspondance de caractères, dont je ne connais même pas le premier.

Sachant qu'il compte nous interroger, je décide de sécher le cours, et pousse une porte à côté. Je me retrouve alors en pleine réunion de professeurs, mais personne ne fait attention à moi : tout le monde est debout, et assez agité. A droite de la porte, sur une étagère, se trouve la tête de Monsieur Holden8. Je me souviens alors qu'il a eu un horrible accident qui lui a coûté la vie, mais je me demande qui a choisi de placer sa tête ici : c'est d'un macabre !

Je continue de le regarder, et je l'imagine en train de fixer un professeur, puis de lui parler.

Le perroquetLes gencives de papa

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