Je me promène dans Paris, et décide d'entrer dans un restaurant chinois1. J'y suis accueilli par le patron, et suis étonne de ne voir aucun client.
Je dérape sur un creux dans le sol, où aurait dû se trouver un paillasson de deux mètres sur cinquante centimètres, mais je me rattrape avant de me cogner contre le présentoir.
Je regarde attentivement les différentes formules et me décide pour la plus chère, la formule à volonté pour vingt euros. Les autres formules me semblent trop légères, et bien que celle-ci soit chère, je sais que j'en aurai pour ma faim. Le plus dur sera de ne pas trop manger.
Je demande à la caissière s'ils prennent la carte bleue, parce que je n'ai que dix euros sur moi2. Je lui demande de répéter à plusieurs reprises, parce qu'elle a une toute petite voix et que je ne comprends pas ce qu'elle dit.
Je sors deux minutes pour téléphoner à Sachiko. Je lui dis de me rejoindre près du grand supermarché chinois bleu3.
Mise à part la brioche à la viande, je n'avais rien mangé la veille au soir.
Les vieux papiers | Le pantalon bicolore |
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