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Rêvé le 29 décembre 2012 - Loni avait 32 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis sur les gradins d'une arène, où une amie doit se battre. Elle me demande de quel côté je suis. Je lui réponds que je me suis dévoué à combattre Marine. Ma réponse la convainc, et elle entre dans l'arène.

Elle doit combattre deux cavaliers, et elle effectue des attaques "chargées" (En maintenant la touche "Y"1). Elle les désarçonne à plusieurs reprises, mais ils remontent en selle à chaque fois. Elle finit par s'en défaire en une dizaine de minutes, mais nous apprenons que la seconde vague comportera cinq adversaires ! Elle ne s'en seortira pas seule, et je descends l'aider, sous les huées de la foule que j'ignore.

Les adversaires apparaissent, mais ce ne sont plus des cavaliers, contrairement à ce que je m'attendais : ce sont des femmes obèses. Je me dis que ça sera plus facile, mais je me rends compte qu'elles ont la capacité de se multiplier ! J'en attaque une dans un coin, et une fois que j'en ai fini avec elle, je me mets au centre de l'arène pour m'adresser aux organisateurs / dictateurs. Je leur dis que ces tournois sont inéquitables et cruels. Plus je parle, plus je vois les gradins se vider. Au bout d'un moment, je mets les dictateurs face à la réalité : tous leurs partisans les ont abandonnés. Ils quittent alors l'arène sous les cris des spectateurs restant : nous avons gagné !

J'accompagne ensuite Bijne dans notre cave secrète. Maintenant que nous sommes victorieux, nous n'en avons plus besoin. Je fais des piles de BDs (De XIII2 et d'Astrapi), que j'espère pouvoir sortir du rêve avec moi. Bijne montre à la femme de l'agence de location le semi-mur en placo placé contre un des murs, dans lequel il a fait de nombreux trous de perceuse, et demande s'il doit les reboucher. Je lui dis de faire attention : l'évacuation des égouts qui aboutit dans ledit mur est en train de couler en de grosses masses compactes au-dessus de sa tête. Je lui dis que je crois avoir de l'enduit dans la cave, je vais aller le chercher pour le lui prêter.

Eight MileLe vide-ordures de Franck Dubosc

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