Je fais du tourisme avec Pierre Bunk dans les Andes et nous arrivons dans un village, sur la place du marché. Nous sommes très sollicités par les vendeurs1 mais notre guide nous en écarte très vite et nous emmène à notre hôtel. Arrivés sur place, nous traversons un grand nombre de couloirs avant d'aboutir à notre chambre. Je fais remarquer au guide que ce n'est pas le bon hôtel2, le nôtre avait un motif circulaire sur la moquette de l'entrée3, et nous partons.
En chemin, nous rencontrons Judy4, qui nous dit qu'elle connaît un endroit où nous serions tranquilles. Nous la suivons, et elle nous emmène devant un temple en ruines, entièrement recouvert d'algues glissantes comme si on venait de le sortir de l'eau. Judy et Pierre Bunk sautent pour atteindre l'entrée, mais au moment où je dois sauter, Pierre Bunk est accaparé par un enfant qui cherche à lui vendre quelque chose. Incapable de retenir mon saut, je me dévie pour atterrir à côté de lui, mais je me réceptionne mal sur le sol glissant et je m'ouvre le genou. Mi-fâché mi-amusé, je lui dis "Ca va se payer !"
Judy nous conduit dans le dédale de couloirs qu'elle semble connaître comme sa poche, et nous finissons par aboutir sur une paroi qu'il nous faut escalader. Judy me précède, et je la vois passer les deux pieds en avant dans une petite ouverture. J'y vais à mon tour et distingue à travers l'ouverture une plateforme aménagée . Je m'y engage les pieds en premier, et Judy me demande de faire attention : je ne dois pas manquer une petite excroissance rocheuse, sur laquelle je pourrai prendre appui pour sauter sur la plateforme. Malheureusement, la surface est glissante et je dérape, manquant tomber dans le vide. Je me rattrape tant bien que mal et finis par sauter sur la plateforme.
Cette dernière est assez spacieuse, possède un canapé, un téléviseur et une bibliothèque que j'examine de plus près : sur certains livres est écrit "OK", et je comprends qu'il s'agit d'un système de protection qui devait lancer des dards empoisonnés ou quelque chose d'approchant, mais qu'ils ont été désamorcés. J'en saisis un et suis étonné de constater qu'il s'agit d'un véritable livre. Comme il a une couverture souple, j'en déduis que les livres piégés sont tous ceux qui ont une couverture cartonnée.
Je suis soudain pris d'un remords, et en fais part à Judy : cet endroit est sûrement un tombeau, et vouloir y rester la nuit passerait aux yeux des habitants pour de la profanation de sépulture. Je propose que nous retournions à l'hôtel.
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