Je suis avec un ami, dans l'appartement d'un particulier. Nous y sommes entrés par effraction : nous avons besoin d'une pièce détachée pour un hélicoptère radiocommandé, que nous lui rendrons après utilisation.
Mon ami veut effectuer la manipulation tandis que je ferai le guet, comme d'habitude, mais je décide d'intervertir les rôles pour cette fois : je le laisse faire le guet alors que je démonte le téléphone. J'enlève les cosses une à une, et un faux contact fait entendre une radio. Dans le couloir, un autre téléphone se met à sonner et mon camarade, par réflexe, y répond. A l'autre bout du fil se trouve le propriétaire de l'appartement. Très énervé, il nous dit qu'il arrive tout de suite, et raccroche. Pris de panique, nous rangeons nos affaires en vitesse, en faisant bien attention de ne laisser aucune trace de notre passage.
Nous retournons alors en classe, où nous expliquons à nos camarades que nous ne retournerons plus là-bas, maintenant que nous sommes grillés. Nous avons l'air de nous foutre royalement d'arriver en retard, bien qu'Yvon nous marque absents pour la demi-journée. Nous nous tournons alors vers nos amis, et leur expliquons que le gars allait nous chercher sur la plage : nous ne pourrons donc pas y aller tout de suite.
Je me retourne alors vers Yvon, et lui explique que j'ai besoin qu'il me fasse un chèque de 210 000 €. Il refuse, mais promet d'y réfléchir quand je lui dis que je verserai la somme au préalable sur son compte.
Je vois alors un groupe de filles dans le coin de la pièce, qui s'occupent de mon fils de presque un an1. Il les amuse, car il enlève sa couche juste après avoir fait pipi. Je pose ma main sur son front, en dégageant ses longs cheveux blonds2 humides pour l'embrasser sur le front. Il a un mouvement de recul, comme s'il n'était pas habitué à ma présence.
A l'époque, ma femme était enceinte de deux mois, et nous ne savions pas encore le sexe du bébé.
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