Les papous
Je suis chez mes parents, dans mon ancienne chambre1. Nous discutons d'un gag de Gaston Lagaffe : "Chez les papous, y'a des papous papas, et des papous pas papas"2, et je décide de commander l'album. J'appelle la FNAC, mais n'obtiens personne. Papa me dit d'insister, et je recompose plusieurs fois le numéro. Au bout de la quatrième ou cinquième tentative, j'obtiens une vendeuse à l'air endormi. Je me rends alors compte qu'on est dimanche et que le magasin est fermé ! Elle accepte toutefois de prendre ma commande, et je regarde le mur à la hâte pour y regarder les scans de couvertures d'albums qui y sont punaisées. Mon regard s'arrête sur l'une d'entre elles, représentant un énorme instrument à vent3 type cor, mais en plus compliqué, tandis que Prunelle brandit le numéro cinq4.
| Pruneaux au restaurant | Un suicide d'acteurs |
- [1]J'avais passé la nuit chez eux le vendredi précédent
- [2]J'avais relu récemment ma collection incomplète, sans retrouver ce gag. Pour info, il est dans le tome 6 (Tome 8 dans la nouvelle édition)
- [3]Dans un des albums que j'ai relus, Gaston propose à mademoiselle Jeanne de consulter sa collection du Trombone Illustré
- [4]Suite à la réédition en grand format des premiers albums, la chronologie s'est retrouvée décalée d'un numéro. C'était un prétexte à gags récurrents au dos des albums : sur le dessin présentant la collection, un personnage hurlait "Arrêtez ! Il n'y a pas d'album cinq !"
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