Le vélo volé
Je suis en vacances en Russie avec Pierre Bunk. Nous sommes dans un grand magasin où j'achète un vélo pour 140€.
Un peu plus tard, j'aperçois une pince assez étrange : elle est composée d'une poignée et d'une sangle en caoutchouc, et sert à maintenir deux planches serrées. Je souhaite l'acheter, mais un vendeur fort peu aimable me dit que le magasin ferme, et que je ne peux plus rien acheter.
En retournant vers la sortie, j'aperçois un second vélo qui coûte 102€. Je décide de l'acheter, et me dirige vers la caisse. Le caissier oublie de me le faire payer1, et je sors dans le hall du centre commercial, le vélo sous le bras. En me retournant, je remarque que le vendeur s'est rendu compte de son oubli, et qu'il me pointe du doigt.
Quelques secondes plus tard, je dépasse Pierre Bunk et notre accompagnateur sur le vélo, laissant le carton d'emballage derrière moi, et slalomant entre les nombreux badauds qui gênent mes poursuivants.
Arrivé dans notre chambre d'hôtel, j'explique mes inquiétudes à Pierre Bunk : les deux vélos ne passeront pas inaperçus à l'aéroport, que ferons-nous s'ils reconnaissent le vélo volé ? Pierre Bunk me rassure en m'expliquant que tout ce que nous risquons est d'être bannis du magasin.
| Première sortie avec mon fils | Descente à skis |
- [1]Il s'était passé quelque chose de similaire la dernière fois que j'étais allé acheter une pizza : la vendeuse a oublié de me faire payer. Je suis sorti, tout content d'avoir eu une pizza gratuite, mais je suis revenu sur mes pas quand je me suis rappelé que j'avais garé ma voiture de l'autre côté de la rue. La vendeuse, qui m'attendait sur le pas de la porte de la pizzeria, m'a félicité pour mon honnêteté
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