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Rêvé le 9 octobre 2006 - Loni avait 26 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis un mercenaire blessé, apparemment trahi par son commanditaire. Je suis aux WC, et je pense que je suis complètement vulnérable. Je me dis qu'il va falloir que je me venge tôt ou tard, et que je vais prévoir un arsenal conséquent pour ce faire. Je prévois d'emporter sur moi un ou deux fusils mitrailleurs, et de scotcher un revolver sous mon fauteuil, au cas où. A ce moment, le commanditaire entre chez moi et de rage, je le plaque contre le sol. Il n'a pas l'air effrayé, bien au contraire, et me demande de sortir.

Une fois dehors, je tente de pointer sans cesse une mitrailleuse dans son dos, mais dès que nous passons à côté d'une église, il me donne un des coins d'un cercueil. Je ne peux faire autrement que le porter, d'autant qu'un petit garçon me demande de faire attention à son papa. Je pense que j'ai l'air bête avec mon FM pointé en l'air.

Une fois ressorti, je vois que mon commanditaire, déguisé en Saint Nicolas, prend la fuite dans un camion rempli de sapins. je le poursuis en courant, et lorsque j'arrive au bout de la rue, je vois le camion garé près d'un stock de sapins, mais ne vois plus mon commanditaire.

Tout à coup, le camion redémarre et se dirige vers son point de départ, d'une manière assez erratique. J'épaule et vise, prêt à tirer, mais je ne vois rien à cause des sapins, et je renonce.

C'est alors que je le vois sortir d'un magasin. Il ressemble à Meryl Streep dans Le diable s'habille en Prada1. Je rentre dans le magasin avec Sachiko, et cherche un cadeau pour Pierre Bunk. Nous ne trouvons rien d'intéressant au rayon couture, ni au rayon maquettes, et nous sommes sur le point d'abandonner quand je vois en rayon un objet en laiton assemblable à 20€. Il ressemble à une boule encensoir; un vendeur nous en fait la démonstration.

Il dévisse une moitié de la boule, et coince quelques petits poils de nylon noir et épais entre les deux hémisphères. Il explique alors qu'il s'agit d'un pinceau à frites, qui sert à étaler de l'huile sur un seul des quatre côtés d'une frite déjà cuite, pour lui donner plus de croustillant.

Il en prépare une, dont le côté devient instantanément doré, et me la fait goûter: elle est excellente.

Je me mets alors en devoir de faire de même avec un autre vendeur, mais mes frites sont toutes pâteuses quand je les badigeonne.

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