Le GIGN Marseillais
En me promenant le long d'une rue avec un ami, nous apercevons un compteur électrique1 ouvert. Il s'y introduit, et aboutit dans un petit réduit dans ce qui semble être une chambre d'étudiant, où se trouve uniquement un lit de camp sur lequel mon ami s'allonge. Je lui demande si ça va aller et il me répond que oui : il n'est pas claustrophobe. Dans la chambre, une jeune métisse est sur un fauteuil, en train de lire XIII. Elle ne semble pas nous avoir vus.
Je continue mon chemin et arrive dans une gare2. Je vais prendre mon train, et je vois Sachiko et Victoria se disputer pour savoir comment se répartir les chaises3 qu'elles ont emportées. Je leur dis de tout prendre : nous ferons la répartition à la maison.
J'aperçois alors des membres du GIGN sur le toit du train d'en face. Notre train démarre en même temps que son vis-à-vis, ce qui nous permet de continuer à suivre les manoeuvres. De nouveaux gendarmes sont parachutés sur les deux trains, mais ils ôtent leurs parachutes à environ deux mètres du haut du train. Le ballet est amusant à voir, d'autant que le haut de la vitre nous empêche de voir les parachutes : les gendarmes descendent lentement du ciel, puis tombent comme des pierres sur les toits des deux trains. Certains d'entre eux ratent leur cible, et tombent dans l'herbe.
| Les fesses d'Emmet | En cherchant la petite fille |
- [1]Ceux sur les murs des maisons
- [2]Elle ressemble à Marseille Saint Charles, une fois les travaux finis
- [3]J'en avais photographié une la veille sous toute les coutures, pour tester les focales de mon nouvel appareil
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