Je suis au soleil sur un quai de gare. Mon train1 arrive enfin, mais je ne peux pas y monter : il est rempli de pompiers qui escortent un blessé, qu'ils posent sur une civière surélevée, presque à deux mètres du sol. Je me rends alors compte que le train en question est un avion.
Je laisse le brancardier passer à côté de moi, et j'en profite pour regarder le brancard : il est recouvert d'un drap brun assez épais, parsemé de tâches sombres. J'imagine que c'est du sang, et que les pompiers utilisent ce drap pour nous cacher un cadavre qui ne doit pas être beau à voir. C'est alors que le corps se met à bouger, et tente de se redresser.
La course en fauteuil roulant | L'appareil photo |
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