Je vais sortir d'un bistrot, et j'entends une conversation entre deux personnes accoudées au comptoir. L'un d'entre eux est apparemment le chauffeur du premier, et il lui explique que les flics ne l'ont jamais arrêté. En sortant, je me rends compte qu'ils m'ont déjà arrêté pour conduite en état d'ivresse, mais je me dis que ça n'est pas si grave. Réflexion faite, ça l'est quand même, et je m'étonne que ça ne m'ait pas choqué à l'époque.
J'entre ensuite dans une vieille maison, qui semble être un musée dédiée à une poète. Je visite quelques pièces avec Stacia, dont un cagibi où se trouve un livre sur un présentoir, qui est un recueil des poésies la poète. Trois de ses poèmes sont cités, sur ses trois amants, dont l'un s'appelle Usul1
Nous visitons le reste de la maison, et Stacia repère quelques anachronismes dans la pièce où l'auteur écrivait ses poèmes : elle m'explique que le petit établi, présenté comme une table télégraphique, n'existait pas encore à l'époque. Elle m'explique également qu'à l'époque, les voiturettes légères (Aux roues semblables à des roues de vélo), étaient interdites. Elle ajoute : "Tout ça ne fait pas très Typo32 !".
Dehors, je lui donne l'exemplaire du recueil de poèmes, que je savais qu'elle désirait. Elle est très contente, et remarque que j'ai même pris le temps de le recouvrir de cuir. Je lui explique qu'il s'agit d'une reliure pleine peau. Elle prend le temps de la manipuler, s'émerveille de voir que le dos du livre n'est pas collé aux pages, mais elle finit par décoller un coin de cuir du livre. Je lui dis de faire attention : ça n'est pas encore tout à fait sec, je l'ai fait en vitesse dans la voiture.
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