Je suis en train de suivre une formation. Elle est très difficile et j'ai du mal à m'en sortir. Je commence à douter de mes capacités1, mais je me rappelle que la formation n'a rien à voir avec mon domaine de compétences, vu qu'il s'agit de mathématiques pures. Cette pensée me rassure.
Alors que d'autres élèves apprennent s'ils ont passé leur formation en enlevant un bandeau, qui découvre sur leur front des caractères chinois signifiant qu'ils ont réussi, je dois me battre contre un vieux maître chinois. Le combat est expédié très rapidement, et je vaincs le vieux sage de quelques coups de mon épée, sans presque rien perdre de ma barre de vie.
On m'annonce alors que ce n'était qu'un échauffement et que le véritable combat ne commencera que quand nos deux têtes seront chacune placée sur le corps de l'autre. Nous nous changeons ensuite en serpents et devons nous affronter, tandis que de petites créatures tentent de me grimper dessus. Je m'en débarrasse en appuyant sur deux boutons de ma manette, ce qui me fait sauter et les écrase2. Je continue la manipulation sur mon ennemi, qui semble en difficulté. Je m'empare alors de mon serpent en caoutchouc pour taper sur l'autre, mais je m'arrête quand je constate que ça abime la peinture des yeux, craignant d'être disqualifié. Je saisis alors mon serpent, qui s'est emmêlé avec celui de mon adversaire, et m'en sers pour ficeler mon ennemi, qui se débat et tire sur les serpents, les étirant jusqu'à leur point de rupture. J'ai très peur qu'ils cassent et que je sois déclaré perdant, mais l'arbitre arrête le match au même instant.
Mon maître me propose alors de voir si j'ai réussi la formation. Je suis plutôt pessimiste : mes compétences en mathématiques sont limitées. Je crois qu'il va m'emmener devant un miroir, mais il me conduit devant une fenêtre où il me fait agenouiller sans ménagement. Je me prépare à ôter mon bandeau et à ne rien voir sur mon front, mais à ma grande surprise je vois de gros caractères chinois, rouges et anguleux : j'ai été reçu ! Je me doute que mes efforts y sont sans doute pour quelque chose, mais je sens que je dois une grande part de mon succès à la chance.
Dans le car qui nous ramène à la maison, nous passons devant un champ de blé où sont plantées d'innombrables statues de guerriers mongols, chacune haute de plus de trois mètres de haut. Je regrette de ne pas avoir pris mon appareil photo.
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