Je suis dans un couloir futuriste aux parois incurvées, en train de me battre (Contre moi-même ?). La bagarre est très confuse, et je deviens invisible1. Je finis par gagner, sans savoir comment j'ai fait.
J'avance dans la structure avace des amis, sans rencontrer personne. Je trouve étrange que le bâtiment soit désert. Au bout d'une salle en pierre, se trouve une jetée, avec une tour de garde au bout. Nous y voyons enfin nos adversaires, des soldats en tenue rouge. Je redeviens invisible et me penche dans l'encadrement de la porte pour tenter d'en tuer quelques uns avec mon arme avant qu'ils ne découvrent notre présence, parce qu'ils sont particulièrement nombreux. Malheureusement, je n'ai le temps que de tuer un seul d'entre eux qu'ils foncent tous sur nous, alertés par la détonation. Je n'ai malheureusement plus de balles2 et je me lance à mains nues dans la mêlée. J'appelle des renforts, mais ce sont des soldats de l'armée ennemie qui viennent, montés sur des chevaux et habillés comme des soldats romains. Je m'empare de la hache en plastique de l'un des cavaliers, et fais mine de la lui enfoncer dans la hanche, puis dans le cou, sous le regard attentif d'un arbitre.
Dans un réfectoire, Dayna harangue une foule désabusée, et leur demande de se lever et de combattre avec elle. À ses côtés, une métisse essaye de la tempérer.
Je reviens sur le couloir du début, où je devine un grand corps invisible sur le sol. Julien Courbet3 dit qu'à essayer de passer avec un cheval dans un couloir si étroit, c'est normal d'en retrouver cinq dixièmes morts. Il s'arrête dans sa phrase et se ressaisit en se rendant compte que ça fait un demi. Je me dis que c'est bizarre qu'il n'ait eu qu'une semaine de vacances4.
Chasse sur la Lune | Endormi dans le métro |
En notant le rêve, le titre m'est apparu comme une évidence. Je me suis après rendu compte que c'est aussi celui d'un roman de Gaston Leroux que j'ai lu plus tôt dans l'année.
Ahahah, il est vraiment absurde celui-là, à partir des romains armés de haches en plastique ! J'imagine aussi la surprise de voir qu'il y a un arbitre pour la bataille. Et le coup des "cinq dixièmes" de cheval morts, c'est totalement le genre de trucs absurdes qu'on entend en rêve.
Oui, je l'ai fait au cours d'une sieste, et je me suis précipité pour le noter, tellement il était absurde !
C'est dommage, par contre, j'ai perdu pas mal de bribes sur la partie "rébellion dans le réfectoire", notamment contre quoi ils se rebellaient.
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