Je rentre au dernier moment sur un quai de métro. La rame est déjà partie, mais comme elle roule à faible allure et que ses portes ne sont pas fermées, je m'y engouffre. Je comprends qu'en fait, elle ne s'est pas arrêtée en station. Une fois que je suis accroché à la barre centrale, un autre gars fait pareil, et je ressens l'envie de le pousser sur le quai. Je m'inquiète de cette pensée, et me dis que ce n'est pas normal que les portes ne se soient toujours pas refermées alors qu'on s'est déjà engagés dans un tunnel. Le gars s'en inquiète visiblement aussi, vu qu'il est très près de l'ouverture. Les portes finissent par se fermer doucement, et il se décrispe.
Je visite ensuite un appartement assez spacieux. Dès l'entrée, l'employée de l'agence immobilière nous exmplique qu'il a un inconvénient majeur : la cuisine est sur le palier, et le palier en question est un couloir de métro assez fréquenté. Je comprends qu'il s'agit d'un problème important, mais je lui dis que je vais malgré tout continuer la visite, le reste de l'appartement ayant l'air très agréable.
Sancha1 est en train de jeter de vieilles bouteilles de piment en poudre. Un de mes compagnons lui dit alors de les garder : ça peut servir de piège pour les utilisateurs du métro qui voudraient rentrer dans la cuisine : il suffit d'en mettre sur le plan de travail, et s'ils touchent à quoi que ce soit, il leur souhaite de ne pas porter leurs doigts à leur bouche.
Ça fait longtemps que je n'avais pas noté de rêve précis. En ce moment, {Loïc brillault} dort assez mal, et ça se ressent sur la qualité de mon sommeil. Je ne me rappelle en général que de bribes à mon réveil.
La manette cassée | Viré ! |
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