J'ai perdu les enfants !
Je suis dans un train, direction Gare de Lyon1. Le train s'arrête au milieu de nulle part, et tous les passagers se lèvent en même temps, l'air mécontent. Je commence à m'inquiéter : va t'on être dirigés vers la bonne Gare de Lyon, ou l'"autre" Gare de Lyon ? Nous passons devant des panneaux de signalisation autoroutiers qui me renseignent : le nom des gares que nous allons traverser m'est totalement inconnu, c'est donc que nous avons pris le mauvais embranchement.
Tout le monde descend à la station suivante, et la foule est si dense que je me retrouve seul. J'attends que les voyageurs se soient dirigés vers la sortie, et j'appelle Sachiko. Ça ne répond pas, mais je la vois arriver vers moi et je raccroche. Une fois qu'elle est à mes côtés je lui dis que, pris dans la foule, j'ai perdu Yoshi2 et Hannibal. Je lui demande si elle les a vus, et elle me répond que non. Elle me dit également que je n'ai pas perdu Yoshi : on l'a déposé chez Yoshiko le dimanche précédent. Je lui réponds qu'il s'agit d'un rêve, et que j'aurais donc très bien pu le perdre. Il n'empêche qu'on a quand même perdu Hannibal.
Je me suis réveillé rassuré. J'étais déjà conscient que ce n'était qu'un rêve, mais je me suis malgré tout resserré contre le corps de Sachiko.
| Logiciel de départ | Les scouts fumeurs |
- [1]Je devais y passer la semaine suivante
- [2]Il avait passé les trois semaines précédentes en vacances avec nous
Commentaires
Nothishade, le 18 février 2011 à 16h27
Erf... les transports en commun oniriques sont bien pires que ceux du monde réel, il faut croire. Le nombre de rêves que j'ai faits dans lesquels les transports en commun me déposaient au mauvais endroit. Ils sont vieux, je ne notais pas encore mes rêves à ce moment-là, mais ça m'est arrivé souvent.
Il y avait même une fois où j'ai rêvé que le bus qui devait me déposer à l'université me lâchait au milieu d'une guerre civile au milieu des ruines.
Prendre un bus ou un train dans le monde onirique, c'est un peu une roulette russe des destinations. :)
Loni, le 18 février 2011 à 16h33
Quand on arrive à destination !
Moi, il m'arrive fréquemment de me tromper de train (angoisse d'enfant), ou de ne pas trouver le bon quai ;)
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