Je suis avec les tanties de Sachiko et Mauro devant un arrêt de bus près de la maison1. Je dois emmener Mauro chez le docteur2, et tout le monde souhaite nous accompagner.
Le bus tarde, et nous regardons les horaires : il est 23h35 et même s'il y a encore des bus, nous ne sommes pas certains d'en avoir au retour. Je dis que nous allons prendre la voiture et que par conséquent je ne pourrai pas emmener tout le monde. On me félicite de cette décision et je me mets à chercher la voiture dans le parking. Elle n'est pas à sa place normale, et je dois utiliser le bip pour la retrouver au fond du parking3.
Je m'installe au guidon de la voiture, et sors dans la rue. La voiture est difficile à conduire et je suis dans une position inconfortable, assis sur le toit. Je freine un coup sec, et la voiture part en dérapage. J'arrive tant bien que mal à me stabiliser, et je décide de ne plus freiner aussi fort. Le guidon est tordu, les deux branches ne sont plus dans le même axe. Je le tourne d'un coup sec pour le réparer.
Nous arrivons à destination. Je me retrouve dans une chambre d'hôtel, devant une dizaine d'interrupteurs en forme de bouteilles. Je les bascule un à un pour tenter d'éteindre toutes les lumières, mais rien ne marche : certaines lumières s'éteignent, mais d'autres s'allument. Je me dis qu'en basculant une seconde bouteille cachée derrière l'une d'entre elles, tout s'éteindra, mais je n'arrive pas à l'atteindre. C'est alors qu'une main s'en saisit et me la donne : c'est la propriétaire de l'hôtel. Elle m'explique que son hôtel est particulier : elle veille elle-même au bien-être de ses résidents, contrairement aux autres hôtels. Par ailleurs, le frigo est gratuit.
Nous sortons tous les deux, et je me demande si je dois l'embrasser. Je ne le fais pas, par chance : Sachiko est à dix mètres de nous, sur la place du marché.
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