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Rêvé le 28 juin 1998 - Loni avait 17 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Je suis à vélo dans une ville que je semble connaître, avec une bouteille d'alcool dans les mains. J'ai envie d'accoster chaque fille que je croise pour la draguer, mais je me retiens. Je finis par rencontrer un mur sans tenir le guidon, pensant pouvoir tourner plus tard.

J'arrive alors devant un pavillon, je sonne et entre. A l'intérieur, je remarque qu'on est tous nus, à l'exception de nos T-shirts. Le mien me semble très court, alors j'essaie de l'agrandir en tirant dessus. Jozefo, qui est à côté de moi, ne semble pas avoir ce genre de problèmes : son T-shirt lui arrive à mi-queue et il a l'air de s'en foutre. Soudain, descendant majestueusement les escaliers, arrive une fille (j'ai une vue en contre-plongée, wow !). Elle est vêtue comme nous (c'est-à-dire un T-shirt et rien d'autre), et je me demande ce que je devrai faire si jamais il me vient une érection. J'aperçois des rouleaux de PQ et je me demande s'ils pourraient cacher mon membre en cas d'urgence.

Je monte ensuite et nous cherchons les causes d'un certain bruit. Je découvre que ce sont des cymbales et des baguettes, que j'essaye de faire taire en vain en les changeant de place. J'essaye encore de les déplacer, mais elle font toujours autant de bruit. Oh et puis on s'en fout ! Une des filles, celle du début, reproche à Jozefo de vouloir attenter à sa vie. C'est en partie vrai, je l'y avais aidé en trafiquant un interrupteur avec du scotch.

 

A mon réveil, j'avais très froid. C'est sans doute pour cette raison que j'ai rêvé que j'étais nu.

À MontalembertLe docteur

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