Je suis dans un magasin de bricolage1 avec deux autres personnes. Je suis en train de chercher des outils pour réparer ma voiture2. En fouinant un peu, je trouve le tournevis que je cherche, puis je vois une barre de métal courbée eu U, qui sert pour les freins de différentes voitures. La notice explique qu'en fonction du modèle, il faut scier la barre pour qu'elle ait une longueur très précise, tout en ajoutant qu'en-deçà d'une certaine limite, le freinage perd toute son efficacité. Il y a un gabarit, mais la notice mentionne plusieurs réglages extrêmement différents pour des modèles relativement semblables de ma voiture, notamment une avec une motorisation Peugeot 3D3. Je me demande ce qu'est cette motorisation, mais en me retournant j'en vois un modèle : il s'agit d'une petite voiture entièrement chromée.
Avant de passer à la caisse, je me ravise : je ne vais pas prendre le tournevis à douille : à trente-cinq euros, je le trouve beaucoup trop cher4. Pour ce que j'en ai besoin, je ferai levier avec un autre tournevis. Je prends toutefois un gabarit magnétique5 de plaque d'immatriculation, sur lequel il faut coller les lettres et chiffres.
Je me retrouve ensuite en haut d'une montagne enneigée avec les deux personnes. L'une d'entre elles est en train de tendre un long ruban de scotch entre deux rochers6, tandis que le second est juste assis en haut. Je m'approche en premier du scotch, me disant que ça ferait un piège parfait : le scotch tendu est quesi invisible, et très large. Le gars se prépare à partir, et j'attends le moment où il va se cogner contre le piège qu'il a tendu lui-même, mais il l'évite au dernier moment. Je me rends alors compte qu'il est recouvert de neige, alors même qu'il ne neige pas.
Je me rapproche de mon second compagnon, qui n'a toujours pas bougé. Il est en train de regarder une colonne de fumée non loin de là, qui m'était cachée par une colline. Je regrette de ne pas avoir pris mon téléphone portable, pour prendre une photo7. Je décide de ne pas aller le chercher quand je vois le chemin à faire pour descendre. Mon compagnon décide de s'en aller, et je le vois avancer précautionneusement dans la pente enneigée, mais il glisse et finit de descendre sur les fesses.
Je le retrouve dans une soirée mondaine, et je me rends compte qu'il s'agit de Pierre Arditi8. Il m'explique qu'en Italie, il est considéré comme Rick Moranis. Je lui demande pourquoi, et je me rappelle qu'il est italien.
Le flirt de Sarkozy | La fille de mon ami |
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