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Rêvé le 9 novembre 2014 - francisse avait 29 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Le soleil s'est couché depuis peu. Il fera bientôt nuit. Les lampadaire commencent à éclaire la rue de leur lumière orange.

Je me trouve dans la rue dérière la résidence où j'ai grandis. Une rue assez étroite. D'un côté le domaine des bonnes soeurs, de l'autre le collège/lycée privé. Quelque chose ne va pas. Je ne saurais dire si c'est dans l'air, le ciel. Nous apercevons un petit groupe au loin. Ils s'approchent.


Lorsqu'ils arrivent à notre hauteur, des cris se font entendre. Leur comportement est très étrange. Je les connais mais ils ne me reconnaissent pas. Les cris ne viennent pas d'eux. Ont dirait que tout le monde a peur de quelque chose. Que tout le monde sens que quelque chose est anormal. La panique s'empare alors de tout le monde (sauf moi) et une bagarre éclate. Avec mon pote, nous arrivons à nous éloigner un peu en leur laissant mon sac à dos. Quelque chose semble toujours bizarre. J'entends comme des grondements au loin. La couleur du ciel n'est pa normale.

Je me retourne et voit les barrières éclairées de jaunes au bout du chemin menant à la maison où j'ai grandis. Là je vois soudainement, des débris passer à vive allure, comme emportés par le vent. Tout aussi soudainement, parmis les débris j'aperçoit un homme qui est emporté par le vent. Les éléments se déchainent. Je conseille à mon pote de rentrer chez lui et lui dis que je vais faire de même. La maison est à une centaine de mètres, je suis bientôt arrivé.


Je ressens toujours quelque chose d'étrange. Je perçoit le danger. Après tout, j'ai vu un homme emporté par une bourrasque. Etait-ce une bourrasque?

Je m'approche de la maison et voit trois femme, d'environ mon age (entre 25 et 30ans) avec 6 enfants. Elles ont peur, ne savent pas où aller. Je ne peut me résigner à les laisser dehors, ar ce temps de folie (littéralement) et leurs conseille de me suivre. La maison de mon père est grande, on peut les acceuillir.


Nous arrivons sur le pas de la porte que j'ouvre immédiatement. Le salon semble plus petit, mais toujours aussi familier. En revanche, le salon est remplis de personnes. Vraissemblablement, des amis de ma famille ayant trouvé refuge et regardant la TV avec insistance pour tenter de se rassurer. On me demande "qui c'est". J'explique que je ne les connais pas mais qu'on ne peut pas décemment laisser femmes et enfants dehors. On a de la place. Avant de monter tout ce monde dans ma chambre, je regarde par la fenêtre de la cuisine. Ce que j'y voit me fait peur. Je vois des gens errer, et attaquer d'autres gens. J'invite tout le monde à barriquader toutes les portes et fenêtre pour se préparer à ce qui vient.

Nous montons dans ma chambre. Je sors couverture, matelas et allume la musique pour les enfants. Je tente de les rassurer. Je regarde par la fenêtre de ma chambre. L'extérieur semble toujours aussi bizarre. Quelque chose arrive, je le sens.

Je redescent et trouve une bande d'hommes. La porte de la maison est ouverte. A travers cette l'ouverture, je vois de la lumière. Comme des spots sur le toit d'une jeep. Ils ont des armes. Ils sont organisés. En tout cas, c'est ce qu'il y parait. Leurs armes sont bleu. Comme si elles avaient étés imprimées. J'attrape un holster, deux pistolets et une mini mitrailleuse. On dirait des vraies, à part leur couleur viv. Je prends un objet dans mes mains. Ca ressemble à un gilet parre-balle assemblé avec de petit cubes de la taille d'un légo, bleu aussi. J'enfile tout ça et m'enquiert auprès de ces hommes sur la situation. Ils sont comme moi. Ils ne savent pas vraiment ce qu'il est en train de se passer mais sentent le danger. Ce nes ont pas des militaires.

Je remonte dans ma chambre, voir si tout va bien. Ma porte fenêtre ne donner plus sur la rue, mais sur une terrasse qui elle-même donne sur un grand jardin/parc.

Une des femmes que j'avais amené avec les enfants, petite, brune aux cheveux mi-longs est dehors. Quelqu'un ou quelque chose lui cours après. J'entends un coup de feu. Elle s'écroule. Ni une ni deux, je sors, armé et vise l'auteur du coup de feu. Je ne tire pas, il s'enfui. Une de ses amies est dérière moi et crie à la mort de son amie. Je cours vers la jeune femme et regarde si elle est morte. Elle ne l'est pas.

Je demande à son amie de m'aider à la ramener à l'itnérieur. Sans que je comprenne pourquoi, elle est prise de panique et pars en courant vers les abnîmes à l'extérieur. Quelque chose ne tourne vraiment pas ronds.

La jeune femme semble en état de choc. Je la secoue un peu puis l'amène à l'intérieur en la portant sur mon épaule et tente d'apporter des soins. Elle est bien vivante.

Je lui demande d'enlever son haut que je regarde la blessure. Il n'y en a pas. C'est alors que j'aperçois du sang sur le haut de sa jambe gauche. Je me dis que je suis bête de lui avoir fait enlever son haut pour rien. Elle sourit en voyant mon erreur.

Je lui enlève son pantalon. Je vois un impact de balle. La balle semble toujours être à l'intérieur de sa cuisse. Ca saigne. Son artère fémorale ne semble pas être touchée. Elle devrait s'en tirer. Je lui donne un linge et lui demande d'appuyer fortement sur sa plaie en attendant que je revienne. Je m'aperçoit que les enfants ne sont plus là. Quelque chose ne tourne vraiment pas rond. Je n'ia aps le temps d'y penser, je dois soigner cette femme. Je descend à la cuisine, pour aller chercher de quoi extraire la balle.  Il n'y a plus personne non plus dans le salon. A la place, il y a des détritus. des sacs plastiques vides joncheant le sol. Les fenêtres et portes sont brisés. Les éléments peuvent rentrer dans la maison comme ils le souhaitent. Je refléchis longement à comment stériliser les sutensiles que j'ai trouvé.

 

Et je me suis réveillé...

Cette sensation d'inconfort. Que quelque chose ne va pas, comme si le monde allait toucher à sa fin et que tout le monde le savait, sans le savoir. Que les gens devenaient fou tout autant que la nature.

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