Je suis à la mer, avec Soaz et Yan. Nous sommes assis sur une plage aux couleurs claires et à la luminosités incroyable. Ambiance fait très bain de mer des années 20 ou avant. Nous sommes vêtus de blanc. Nos chats sont avec nous : il y a Chat-Malo1, qui ressemble à un gros bébé, un grand chat noir un peu confus et un peu flou2, et Minette, vraiment très grande, presque la taille d’un labrador3. Je suis contente de la voir, elle me manquait. J’essaie de calculer son âge mais je n’y arrive pas. Elle s’assoit pour qu’on lui donne à manger. Je regarde la mer. Une femme passe, assez mince, cheveux bouclés au carré, habillées en bruns naturels. L’air dégagé et léger, elle marche le long de la mer. Elle passe près de moi. C’est le sosie parfait de Soaz. Je lui dis « Regarde, c’est toi ». Yan s’approche des chats, mais une puce4 lui saute sur le poignet ; je lui dis de s’éloigner mais il reste. Deux autres puces lui sautent dessus, puis encore deux. Je veux l’aider, mais deux puces sutanet sur mon poignet droit. J’en attrape une, je la tiens serrée entre deux doigts pour la tuer ; l’autre a disparu.
-Réveil furtif.
Je ne suis pas moi. Par moments, je vis les choses de l’intérieur, par moments, j’ai un point de vue extérieur et je vois le personnage. C’est un enfant, avec une allure de cartoon. Il est sur une estrade carrée à l’orée d’une forêt, au bord de la mer, assis à genoux, dos à l’eau. La mer entoure l’estrade par vague, puis se retire. Tout à coup, une vague immense me5 recouvre (sans me toucher) en formant une voûte gigantesque au-dessus de moi. Elle se retire. Puis cela recommence. La voûte se précise : elle est formée d’une structure centrale épaisse, qui forme un axe au-dessus de ma tête, venant de la mer et allant vers la forêt. De cet axe, découle des lignes plus fines, comme les nervures d’une feuille. Une peau aux couleurs mouvantes, constituée de violacés sombres et de verts foncés, opacifie la voûte. Je suis dans une baleine. Lorsque je le comprends, je me retourne et plonge dans la baleine, vers sa queue, en nageant. L’espace se rétrécit, toujours nervuré de la même manière. J’arrive à la « salle des machines », sur ma droite : c’est une pièce carrée, aux parois claires et mœlleuses. Il y a plein de girafes6, elles sont toutes flappies. Certaines ont même le cou mou… Il n’y a pas assez de pression dans les tuyauteries. Normalement, les girafes devraient être expulsées par les vents de la baleine et faisant des galipettes, c’est ça qui est drôle avec les baleines, tout le monde sait cela ! Voir les girafes en étoiles, tourner dans les airs, en sortant du dos de l’immense cétacé, c’est tordant ! Mais là, elles restent toutes coincées. C’est pour cela que la baleine est venue me chercher, pour décoincer les girafes…
-Réveil.
Drôle de nuit | Ballade nordique |
La deuxième partie de mon rêve m'a rendu de super bonne humeur pour la journée, j'étais vraiment morte de rire en y repensant !!!
L'arrivée des girafes est sensationnelle, au moment où on s'y attend le moins ;)
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