Une ville, le métro. Je veux être à l’heure, mais en comptant, j’ai pile le temps d’arriver sans compter les marches ; je râte donc le train.
Je suis avec des filles, pour une espèce de fête joyeuse. Il y a Lison1, qui crie et rie beaucoup. C’est fini, je sorts dans une ville grise, rapide, bruyante. J’attends devant un énorme passage pour piétons ; l’avenue est très large. Les voitures ressortent d’un tunnel sous un pont, il y a des taxi jaunes new-yorkais. Je cherche des toilettes ; je demande à un groupe de filles qui commençait à monter dans un bus. Elles m’indiquent une cabine grise, comme à Paris et me donne une pièce d'un euro toute jaune, parce que je n’avais qu’un billet dans mon porte-monnaie.
Retour dans la grande chambre-pièce où avait lieu la fête. Il y a des lits. Je pensais être seule, mais Nick est encore là. Je lui dis que je reviens pour dormir... on est nombreux finalement. Fenzo, qui avait organisé la fête, n’est plus là : il est parti dans une boîte sur les Champs Elysés qui appartient au mari2 de sa soeur, très riche. La pièce est grande et spacieuse, en forme de L. Elle est sombre, propice au sommeil, avec juste quelques sources de lumière chaude et très tamisée. Il y a trois lits à ma droite, têtes au mur et séparés les uns des autres. En face, presque au fond de la pièce, un canapé recouvert d’un tissu moelleux jaune moutarde. Derrière lui, à claire-voie d’un mur à colombages, j’aperçois une pièce avec 3 ou 4 dormeurs, couchés sur des matelas. Derrière, je sais qu’il y a une pièce secrète. Je dorts dans le lit le plus à droite, mais je fais plein de bruit avec des sacs en plastiques en rangeant mes affaires, avant de me coucher. Lorsque j’arrête, plus personne ne dort ! Nick m’attend avant d’aller se coucher, ça me gêne un peu ; il dort dans le lit le plus à gauche.
Tout le monde est parti. Je rentre dans la pièce secrète : il y a Landres, il semble très fâché. Il attendait que je parte, il est avec des amis à lui. Nous sommes sur le trottoir ; ils sortent tous. Landres est très sombre, les cheveux très épais, limite un volume de dreadlock, tirés en arrière ; il porte une barbe très noire. Je ressens sa colère lorsqu’il passe près de moi, sans un regard. Je lui dis faiblement bonjour, il me répond d’une voix terriblement grave, après m’avoir dépassé. Je me sens très mal, son attitude me pertube beaucoup. Impression de solitude complète...
-Réveil, un peu angoissée.
Monsieur P. | Voyages en mer (Les Girafes IV) |
Zéphirin avec des dreadlocks, je demande à voir !
Les taxis new-yorkais et les grandes avenu m'on fais pensait au film Inception ;)
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