Un grand bâtiment, type grand hangar industriel du début du XXème siècle. Il est en partie sous terre. Un escalier métallique le long de la paroi permet d'accéder au sol (la petite porte donne sur la rue). Une femme d'une cinquantaine d'années y est conduite par son mari, costume sombre et cravate noire. Ils descendent à un autre niveau, dans un petit laboratoire, sombre et presque vide. Un assistant les attend. La femme doit s'allonger sur une table en fer, genre table d'autopsie ; elle ouvre son chemisier. Son mari lui badigeonne une espèce de poudre-crème verte sur le torax et sur le haut du haut. Il lui en met aussi sur la joue. L'assistant lui demande si c'est nécessaire, l'homme affirme que oui, pour que l'expérience soit menée à bien. La femme ne dit rien, elle est soumise à ce que dit son mari. Je suis révoltée : il s'agit d'une substance radioactive ! L'homme veut prouver que le nucléaire n'est pas dangereux pour la santé, sauf qu'il l'essaye sur sa femme. Il dit que les femmes de l'Est sont exposées tous les jours et ne présentent aucune séquelle. Je suis en rage... mais je n'existe pas dans la scène, je suis présente comme une spectatrice, je n'ai ni corps ni consistance.
Je sorts physiquement de ce lieu. Je suis dans la rue, avec un homme et un enfant (je les connais mais je n'ai aucun lien avec eux). Une ville, la nuit ; de grandes rues, presque désertes. Nous traversons une rue : je crie à l'enfant de courir. Nous devons traverser avant qu'une voiture noire nous tue. L'homme ne veut pas m'écouter, il se fait tuer au carrefour suivant. Les traversées de routes sont de plus en plus dangereuses... Nous nous retrouvons sur un trottoir, entre des maisons et une rangée d'arbre, un gros 4x4 à nos trousses. Il poursuit l'enfant, pas moi. Le garçon entre dans une maison, le 4x4 le suit. J'ai très peur. Lorsque j'arrive, le conducteur semble être un innocent, tout heureux parce que l'enfant lui a donné un ours en peluche. L'enfant est au sommet d'une pile de jouets, la pièce est toute détruite par le 4x4.
Je suis dans mon jardin... mes cousins, ma famille. Une dispute très violente, qui traduit et symbolise la réalité.
-Réveil en sursaut.
Embarquement(s) | Hôpital psychiatrique |
Bon retour sur le site ! Tu as passé de bonnes vacances ?
C'est assez rare de faire des rêves où on n'est pas là. j'en ai fait, mais pas d'aussi frustrant !
rôhlàlà, oui, il était étrange ce rêve... en fait, j'ai hurlé dans les 3 rêves de la série, du coup, j'étais très mal en me réveillant. C'est assez rare pour moi de ne pas pouvoir intervenir dans l'histoire, j'étais comme un espèce de fantôme non visible des autres... frustrant est le mot !
Et oui, les vacances furent sympa ! J'ai noté quelques rêves sur des bouts de papier sans avoir le temps de faire un tour sur l'onironaute ! mais, je reviens ! ;-)
Prends le temps de défaire tes valises ;)
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