Cette nuit Mon chat arrive à Paris avec trois de ses frères et soeurs.
Je réalise que Nath ne les a pas tués et que je dois m'occuper d'eux.
Je tente de leur faire comprendre que c'est impossible, mais ils font mine de ne pas me comprendre.
Je décide alors de les tuer moi-même en les lançant loin, par la fenêtre, comme on jette une massue, lorque je m'aperçois que j'ai également lancé mon chat.
Mais les chatons sont très résistants, il reviennent, même pas blessés ni de corps, ni d'orgueil, j'essaie de récupérer mon chat parmi eux pour ne pas commettre de deuxième méprise.
Mon chat me prend à part pour me parler seul à seul. Il me demande d'une petite voix :"Pourquoi vouloir les tuer ?". Je lui explique qu'ils sont condamnés, qu'ils ne pourront pas survivre. Il me répond : "ne vaut-il pas mieux vivre libre en ville que prisonnier à la campagne." Alors je décide de laisser vivre les chatons et je pars pour la montagne.
Dans les lacets que font la route pour atteindre le sommet, je retrouve avec joie Alain. qui me sert fort dans ses bras et c'est alors que je réalise mon erreur. Ce n'est pas lui que je devais retrouver mais Santiago.
Difficilement je lui explique et je vois que je lui fais de la peine. Son image disparaît pour laisser place à celle de Santiago.
Le plus bel instant | Microscope géant. |
Comme quoi, il suffisait de demander, à la fin :)
Le coup des chats me fait penser à la chanson de Steve Waring :
http://www.deezer.com/listen-621755
Sympa la chanson, je connaissais pas.
J'avais une cassette de lui quand j'étais gosse, je l'écoutais en boucle !
Incroyable je connais ! Je m'en souvenais plus du tout... MDR !!!
La coïncidence est belle !
N'est-ce pas !
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