Le cœur vert sur le mur c’est du sang d’éphémère écrasé à l’index.
Contre les fenêtres ce sont des ailes de fourmis qui battent.
A l'intérieur il pleut des cordes, mais mon lit n'est pas trempé.
Meurtre et Corps découpés | Bonhommes verts, Tigre du Bengale et ptérodactyle |
J'adore ta poésie onirique ;)
Ça me fait presque penser à un haiku !
Oui, c'est ce que j'ai pensé aussi, mais je crois que le haiku est super codifié : il y a moins de syllabes.
Oui, je sais, mais c'est plus pour le contenu que je pensais au haiku (le côté nature et saisons) ;)
Dans un haiku, j'ai toujours attaché de l'importance au rapport qu'entretiennent l'infiniment petit et l'infiniment grand... et sans avoir véritablement cherché à en faire je pense que cette notion en fortement ancrée dans ma poésie onirique ;)
Suite à une attaque de Spam, les commentaires anonymes sont temporairement désactivés