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Rêvé le 3 mai 2003 - Coriolan avait 24 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

Le cœur vert sur le mur c’est du sang d’éphémère écrasé à l’index.

Contre les fenêtres ce sont des ailes de fourmis qui battent.

A l'intérieur il pleut des cordes, mais mon lit n'est pas trempé.

 

 

Meurtre et Corps découpésBonhommes verts, Tigre du Bengale et ptérodactyle

Commentaires

  • Loni, le 12 avril 2011 à 14h47

    J'adore ta poésie onirique ;)

  • Nothishade, le 13 avril 2011 à 11h23

    Ça me fait presque penser à un haiku !

  • Loni, le 13 avril 2011 à 11h28

    Oui, c'est ce que j'ai pensé aussi, mais je crois que le haiku est super codifié : il y a moins de syllabes.

  • Nothishade, le 13 avril 2011 à 11h31

    Oui, je sais, mais c'est plus pour le contenu que je pensais au haiku (le côté nature et saisons) ;)

  • Coriolan, le 13 avril 2011 à 11h51

    Dans un haiku, j'ai toujours attaché de l'importance au rapport qu'entretiennent l'infiniment petit et l'infiniment grand... et sans avoir véritablement cherché à en faire je pense que cette notion en fortement ancrée dans ma poésie onirique ;)

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