Je suis dans un chalet avec une gang d’ami(e)s, papa, maman et de la famille. Moi et plein (une bonne quinzaine) d’autres jeunes habillés de toutes les couleurs, tôt le matin(les adultes dorment), on part marcher dans la forêt alors qu’on n’en a pas le droit. Je reviens avant les autres (raison inconnue) et les adultes sont levés. Ils me posent plein de questions sur ce que j’étais allée faire. Je leur mens en disant qu’on était à tel endroit. Mais voilà les jeunes qui arrivent. Je cours pour leur dire que j’ai dit aux adultes qu’on était partis à tel endroit, mais lorsque j’arrive à les rejoindre, ils sont déjà trop près de la maison, si je parle, les adultes vont m’entendre.
CHANGEMENT DE SCÈNE
Je suis dans un centre d’achat avec deux jeunes parents qui sont des amis de longue date de ma famille. Je suis la gerdienne de leur petite fille adorable qui s’apelle Rosaline. Elle est dans un porte-bébés dans le dos de sa mère. Je vois quelqu’un, habillé en noir et avec un masque, qui lui donne une petite purée beige à manger. Je me dis que s’il est là, c’est que les parents doivent être d’accord – il était si proche d’eux, ç’aurait été impossible qu’ils ne l’aient pas vu! Puis la mère se retourne et l’homme s’enfuit, rapide comme l’éclair. Elle me confie le bébé pendant quelques minutes. Ils sont à peine partis que Rosaline devient un peu pâle et se met à geindre. Je me dis qu’elle veut sans doute le reste de la purée, que l’homme a laissée là. Je lui donne une cuillérée et elle meurt. Les parents, qui viennent de revenir, ont vu la scène. Le père, consterné, regarde la purée : c’est du poison! Ils croient que j’ai tout manigancé! Ils m’attrappent par les bras (Le décor change, je me retrouve sur la piste cyclable) et je me débats un peu. Je suis en larmes, comme eux. Je commence à comprendre. Ils disent que j’ai tué Rosaline. Je sais que c’est l’homme, mais ils ne veulent pas entendre mes propos incohérents. Je me retrouve en prison. Quelques mois plus tard, ils viennent me voir. Rongée par la culpabilité, je commence à leur dire que j,ai véritablement tué Rosaline. Ils répètent ‘'tu as tué Rosaline’'. Tout d’un coup, je me souviens de l’homme. Je tente de leur expliquer, mais ils fondent en larmes et déclarent que je suis folle.
CHANGEMENT DE SCÈNE
Je suis dans ma chambre avec Tam-tam et hufflepuff. hufflepuff part aux toilettes. Tout d’un coup, Tam-tam me saute dessus et me donne plein de câlins. Je le pousse (Mais qu’est-ce qui se passe?!?) mais il continue. Quand hufflepuff entre, Tam-tam est en train de me faire un câlin... Mais je ne voulais pas! AAAHHHH!!!
CHANGEMENT DE SCÈNE
Je suis Roméo. JE SUIS UN GARÇON. Juliette et moi sommes follement amoureux. On est au Manoir d’Youville. Notre chambre (lits séparés J) est rose flash. L’une des portes de notre chambre communique avec la chambre d’un autre gars. Au bout de quelques mois, le gars de la chambre d’à côté tombe amoureux de MA Juliette. Évidemment, moi, ca me fâche. Un jour, je dis à ce gars ce que je pense en pleine face. C’est à la ‘'cafétéria’' du manoir, et on a tous les deux des plateaux dans les mains. Depuis ce moment-là, il a commencé à vouloir obtenir Juliette de force. La prochaine fois que je le vois, il arrive devant notre porte de chambre avec une trentaine de jeunes hommes armés de tournevis et de clés à molette. Il essaie de défoncer notre porte. Puis, saisis d’un éclair de génie, nous faisons semblant d’être morts. Ainsi, nous avons échappé à leur poursuite. Mais ils nous suivent. Le soleil se couche. Dans le bâtiment, il y a plein d’ascenceurs partout. Mais comme, vraiment partout. Et plein de gens qui prennent les ascenceurs. S’ensuit alors une folle poursuite dans les ascenceurs du manoir. Pendant une heure onirique ou deux, nous nous faisons poursuivre, puis, éventuellement, séparer. Notre but est de sortir du bâtiment. C’est vraiment une poursuite à perdre haleine. Pendant toute la durée de la poursuite, j’ai l’impression que la gravité marchait pour tout le monde sauf pour moi! Je rebondissais comme si je marchais sur la lune, mais cela ne m’aidait pas du tout, de sorte qu’il fallait que je fonce dans un mur pour arrêter l’élan de mouvement qui m’emportait. Souvent, mes adversaires ont presque pu me rejoindre à cause de ça. Puis, je réussis finalement à sortir du bâtiment (qui, en fait, loin de se trouver à Châteauguay comme le vrai manoir, se trouve en plein milieu de Montréal, avec de grands escaliers majestueux. Puis il y a plein de fontaines et je suis persuadé que Juliette (qui avait été séparée de moi un peu plus tôt) se trouve dans une de ces fontaines sous la forme d’un gant vert. Le problème est qu’il y a plein de gants verts, et que nos agresseurs commencent à poindre à l’horizon. J’essaie tous les gants, et tout d’un coup, l’un d’entre eux se met à me parler. Je suis sûr que c’est Juliette, mais pour être sûr, j’emporte tous les gants. L’un d’entre eux se transforme en Juliette. Finalement réunis! Nous prenons in extremis… un autobus de ville, afin d’échapper à nos agresseurs. (?) Enfin, bon, finalement nous revoilà près de chez nous, mais les agresseurs arrivent, ils se précipitent sur nous. Juliette traverse le boulevard sans attendre et manque se faire frapper par une voiture. Elle arrive saine et sauve de l’autre côté, mais le gars seul l’a suivie. Je suis retenu de force par la bande de jeunes. Je crie à Juliette de rentrer dans la maison et de barrer la porte derrière elle. Puis, après qu’elle soit rentrée et en sécurité, j’arrive à me dégager de la prise des garçons et je traverse le boulevard en courant. Les jeunes restent en retrait de l’autre côté de la rue. Seul le garçon du début se tient entre moi et la porte de la maison. Il a une épée ; je ne suis pas armé. Tout d’un coup, je saute et je me mets à battre des bras comme des ailes. J’arrive presque à monter sur le toit de la maison (en fait, la maison, pour l’occasion, a trois toits empilés les uns sur les autres). Je retombe par terre. Mon adversaire se met à me regarder, ébahi, alors qu’il aurait pu me tuer d’un coup de grâce. Je me relève, étonné de son ébahissement, et je réessaie. Encore une fois, j’y arrive presque. Alors que je suis encore aggrippé au toit, papa ouvre la fenêtre et me crie ‘'C’est pas bientôt fini ce tapage? On essaie de dormir, nous, ici!’’ Je lui crie d’ouvrir la fenêtre et d’enlever la moustiquaire. Je tombe et réessaie une troisième fois, où j’arrive à retomber debout sur le toit. Mon adversaire (ne e demandez pas comment) est rendu sur le toit, assis confortablement, à me regarder, toujours aussi ébahi. Je rentre par la fenêtre laissée ouverte et la barre derrière moi. Je retrouve ma Juliette et tout est bien qui finit bien.
Je suis en train de lire Roméo et Juliette de William Shakespeare.
Mister B for dummies |
La partie avec Rosalyne à du être éprouvante !
Quant à Roméo et Juliette, on concerne par une ambiance sitcom, puis à quelque chose ressemblant à West Side Story,et on finit presque avec du Benny Hills !
Le coup du vol en battant des bras est très sympa aussi !
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