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Rêvé le 18 octobre 2016 - Anariel avait 17 ans Ajouter ce rêve à vos favoris

 Je traverse un pays chaud et sec à petites foulées, armée d'un arc et de flèches. Pendant un moment, le paysage se résume à une étendue désertique et sablonneuse, avec un sol irrégulier et des arbustes morts autour de mon chemin. Je regarde sur la droite et essaye de distinguer quelque chose par-dessus les sortes de mottes qui se dressent de part et d'autre. Mais je ne puis voir ce que je veux voir, et j'ignore de quoi il s'agit. Plus loin, une herbe jaune et sèche comme la paille se fait de plus en plus présente. Il y a même quelques arbres. Je regarde en arrière et devine encore le petit désert derrière les branchages, au loin. À ma gauche, il y a des habitations. Je sais instinctivement qu'il ne faut pas aller par là. Elles représentent un danger dont je n'ai pas connaissance, encore une fois. Et j'ai raison de penser cela car à quelques mètres de là, sur ma droite, se tient un homme armé. Occupée à regarder sur ma droite, je ne l'avais pas vu - et lui non plus, heureusement. Il tire une flèche. Pas sur moi. Probablement sur un intru repéré près de la ville. Je n'ai pas le temps de me cacher, et si je ne le fais pas, ce sera lui qui le fera: je décoche une flèche à mon tour (il faut noter que le rêve oscille depuis le début entre une perspective réaliste et celle d'un jeu vidéo: ici, je "contrôle" l'arc comme dans un MMORPG1, c’est-à-dire en utilisant une combinaison d'actions représentées par des boutons) mais cela ne suffit pas à le faire tomber, encore moins à le tuer. Je crois que ma flèche s'est plantée dans son bras. Il est rejoint par deux ou trois alliés que je tente d'éliminer mais mon énergie, encore en "rechargement", est insuffisante. Le décor commence à changer: nous sommes à présent à l'intérieur d'un abri en béton (ouvert sur le même paysage précédent). J'utilise alors un gourdin. Au début, je suis encore faible et la maladresse de mes attaques fait ricaner mes ennemis. Je retrouve enfin la force de décocher quelques flèches et tire dans le ventre de l'un d'eux. Quelques coups bâton de plus et je suis gagnante; les survivants s'enfuient.

Bac de philo express

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