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Rêvé le 30 novembre 1978 - 1Atil avait 18 ans Ajouter ce rêve à vos favoris



King-Kong n'est pas un simple gorille géant. C'est une sorte de démon qui s'apprète à débarquer sur terre pour en prendre possession. Ses adorateurs l'attendent avec impatience mais moi je me demande comment faire pour empécher sa venue.

Je suis en train d'y réfléchir dans la rue lorsqu'un de mes amis arrive. Il a l'air halluciné et m'exhorte à rejoindre les rangs des adorateurs de King-Kong comme lui-même vient de le faire. Mais je le repousse en le traitant de fou et d'endoctriné. Alors il se met à hurler que je suis un ennemi de King-Kong et appèle les autres membres de sa secte. Ceux-ci arrive alors de partout et se lancent à ma poursuite.
Je m'enfuis alors dans un supermarché et je lance plein de caddies et de marchandises derrière moi pour les retarder.



Finalement j'arrive à sortir du magasin par une porte dérobée, croyant les avoir semés. Mais je me retrouve face à mon amie Muriel. Celle-ci aussi à les yeux halluciné et me supplie de rejoindre les rangs des adorateurs de King-Kong, comme elle, car sa venue est proche. Mais je la bouscule et continue de courir. Je l'entends derrière moi qui alerte les autres fanatiques et leurs indique dans quelle direction elle m'a vu m'enfuir.

J'arrive toutefois à les semer en empruntant de petites rues.
Finalement, aprés avoir fait un grand détour par les pâtures pour le pas me faire repérer, j'arrive derrière chez moi en traversant des barbelés. J'entre donc dans ma maison... et je me retrouve face à face avec le grand maître des adorateurs de King-Kong qui m'attend tranquillement assis sur une de mes chaises.

Il sourit de manière diabolique et me dit qu'il est trés content car King-Kong est en train d'arriver et qu'il va avoir la satisfaction de le voir m'attraper dans ses énormes pattes pour me torturer de manière horrible. Puis il éclate d'un rire sadique et démoniaque.

Devant tant de méchanceté, je m'énerve et lui donne un grand coups de poing... il perd l'équilibre et tombe en arrière... et se tue en se brisant la nuque contre un angle de ma cuve à fioul.
Je ne voulais, certe, pas le tuer... mais je ne peux pas m'empécher de penser qu'il ne l'a pas volé.

A ce moment arrive un être humanoïde portant une sorte d'armure rouge de samouraï. Il m'insulte et dit qu'il va prévenir le grand King-kong (dont il est l'éclaireur) que je viens d'assassiner son meilleur ami terrien. Je veux l'attraper pour le faire taire mais il s'enfuit rapidement.



Je tente de le poursuivre dehors... mais je me retrouve alors face à face avec ... King-Kong !

Je retourne alors me réfugier dans ma maison, estimant que ce gorille est bien trop énorme pour pouvoir y entrer. Mais King-Kong commence à donner des coups de poings dans les murs et le toît pour faire s'écrouler toute la structure. Je cours de pièce en pièce, me demandant à quel endroit je serai le plus en sécurité. King-Kong parvient à ouvrir une brêche dans un mur et y passe son énorme main, tentant de m'attraper. Je me réfugie alors dans le salon... puis j'ouvre la porte d'une armoire, me demandant si je ne pourrai pas m'y cacher. Je sens que je suis en train de devenir fou de peur. Je me sais tout à fait incapable de faire quoi que ce soit contre une créature aussi puissante.

Et puis brusquement je me dis que, perdu pour perdu, je ne périrai pas comme un lâche. J'ouvre alors la porte donnant sur le balcon et fais bravement face à King-Kong.

Et c'est alors qu'un nom terrible apparait dans mon esprit : "Crôm" !
Je décide alors d'invoquer le dieu Crôm, le suppliant de venir secourir ma planète.
Et puis je prends conscience qu'invoquer Crôm est dépourvu de sens car... car je SUIS Crôm !



Je suis le dieu Crôm lui-même qui s'est incarné sur Terre pour attendre la venue de King-Kong et le combattre.
Je me mes alors à grandir, grandir, grandir démesurément et à devenir aussi grand que King-Kong. Celui-ci tente de m'empoigner... mais je continue à grandir. Et je deviens immense, et lui-même semble minuscule face à moi. Je lève alors le pieds... et j'écrase King-Kong comme s'il était un simple insecte.

Muriel arrive alors et me maudit car j'ai osé tuer l'être qu'elle adorait. Je l'attrape avec mon énorme main et je lui arrache ses vêtements.
La scène est alors étrange car, dans le film, on voyait une femme dans la main de King-Kong alors qu'ici on voit une femme dans la main du vainqueur de King-Kong...

La bête des maraisLes bêtes des marais, le retour

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